Moscou, «Mettre fin à l’hégémonie du dollar est une bonne chose»

L’idée serait de faire les règlements en euro et en rouble entre l’UE et la Russie en non plus en dollar.

14 juin 2019

Qualifiant de «surréaliste» le fait que l’Union européenne et la Russie utilisent systématiquement le dollar lors de leurs transactions, l’eurodéputé Thierry Mariani a apprécié dans une interview à Sputnik l’idée de la Commission européenne et du gouvernement russe de créer un groupe de travail pour passer aux règlements en rouble et en euro.

Lors d’une réunion de travail qui s’est tenue jeudi 13 juin à Moscou, le premier vice-Président du gouvernement russe et ministre des Finances Anton Silouanovet le vice-président de la Commission européenne Maros Sefcovicse sont mis d’accord sur la création d’une groupe de travail qui devrait élaborer des mesures en vue de passer dans le futur aux règlements en rouble et en euro dans le cadre de leurs échanges commerciaux.

Interrogé sur le sujet, Thierry Mariani, ancien ministre du gouvernement Fillon et député européen du Rassemblement national, a estimé que l’UE et la Russie n’avaient en réalité besoin d’«aucun accord» pour faire la plupart de leurs transactions en euro.

Toutefois, il a trouvé nécessaire d’en finir avec la suprématie du dollar sur les marchés russo-européens.

«Tout ce qui contribue à mettre fin à l’hégémonie du dollar est une bonne chose. Il m’a toujours semblé surréaliste que des grands pays tels que les pays européens, ou la Russie, utilisent systématiquement le dollar dans certaines transactions. Ce qui donne en plus une arme économique et juridique aux Américains. Car dès que leur monnaie est utilisée, ils considèrent qu’ils ont un moyen d’action.»

M.Mariani a également expliqué pourquoi les États-Unis cherchaient à conserver la prédominance du dollar dans le commerce international.

«L’un des vrais problèmes aujourd’hui est l’extraterritorialité du droit américain, puisque les USA se donnent au travers de l’utilisation de leur monnaie, des stockages, ou de toute une série d’autres points qui peuvent sembler être des points de détails, des moyens pour intervenir juridiquement voire pénalement dans toute une série d’affaires.»

«Les banques françaises en ont payé un prix très lourd. Je fais partie de ceux qui ne comprennent pas pourquoi devant ces sanctions et devant ces risques on ne multiplie pas l’usage des autres monnaies. Si cet accord rentre en vigueur, je ne peux trouver ça que positif. Mais je pense que c’est une déclaration d’intention, sans mécanisme concret.»

L’eurodéputé a souligné par ailleurs qu’en raison des nouvelles élections, le vice-président de la Commission européenne ne serait «plus personne» dans 15 jours.

Le premier vice-Président du gouvernement russe Anton Silouanov et le vice-président de la Commission européenne Maros Sefcovic se sont mis d’accord sur la création d’un groupe de travail chargé d’élaborer des mesures pratiques pour passer aux règlements en roubles et en euros entre la Russie et l’Union européenne.

Le premier vice-Président du gouvernement russe et ministre des Finances Anton Silouanov a eu une réunion de travail avec le vice-président de la Commission européenne Maros Sefcovic. Au cours de la réunion, ils ont abordé les questions concernant la possibilité d’effectuer en roubles et en euros des règlements dans les échanges mutuels, y compris des échanges énergétiques. Les parties ont noté que le développement de l’utilisation des monnaies nationales était mutuellement avantageux, car il réduit les risques pour les entrepreneurs russes et européens», a déclaré Andreï Lavrov, porte-parole d’Anton Silouanov.

Il a ajouté qu’Anton Silouanov et Maros Sefcovic s’étaient mis d’accord sur la création d’un groupe de travail chargé d’«élaborer des mesures pratiques pour passer aux règlements en roubles et en euros».

Au cours de la réunion, Anton Silouanov a également déclaré que la Russie était intéressée par la participation du monde des affaires européen à la réalisation de projets nationaux russes et que Moscou ne voyait aucun obstacle qui pourrait empêcher les entrepreneurs européens de le faire.

M.Sefcovic a été informé sur des mesures prises par le gouvernement russe visant à améliorer le climat des investissements et à libéraliser les échanges en Russie.

En outre, les parties ont exprimé l’espoir d’une intensification de la coopération économique entre la Russieet l’UEet d’un accroissement du volume des échanges, ainsi que de la réussite de la mise en œuvre des projets d’investissement dans différents domaines.

La Russie prête à choisir l’euro pour son commerce extérieur en cas de soutien européen

25 mai 2018

La Russie se dit prête à remplacer le dollar par l’euro pour les règlements de ses échanges commerciaux extérieurs. Mais elle attend de l’Union européenne une position ferme sur les dernières sanctions américaines qui la visent.

Le ministre des Finances russe Anton Silouanov a déclaré le 24 mai, lors du Forum économique international de Saint-Pétersbourg que les règlements en monnaie américaine pourraient être abandonnés par la Russie en faveur de l’euro si l’Union européenne prenait position contre les dernières sanctions américaines contre Moscou.

«Comme on le voit, les restrictions imposées par les partenaires américains sont de nature extraterritoriale. La possibilité de passer du dollar américain à l’euro dans les paiements dépend de la position de l’Europe vis-à-vis de l’attitude de Washington», a précisé le ministre des Finances, également vice-Premier ministre. 

A la veille de son départ pour le Forum de Saint-Pétersbourg le président du Mouvement des entreprises de France (MEDEF), qui devait y être accompagné d’une délégation comprenant un tiers des dirigeants des entreprises du CAC 40, s’était également emporté contre «les sanctions délirantes imposées par les Etats-Unis».

L’UE avait initialement soutenu les sanctions de Washington contre Moscou, mais a récemment critiqué la politique du président américain Donald Trump consistant à imposer des restrictions commerciales à d’autres pays. L’UE a en outre été frappée par l’introduction de droits d’importation américains sur l’acier et l’aluminium. La situation s’est encore aggravée après le retrait des Etats-Unis de l’accord nucléaire avec l’Iran.

«Si nos partenaires européens prennent position sans équivoque, nous pourrions certainement voir un moyen d’utiliser la monnaie commune européenne pour les règlements financiers, tels que les paiements pour les biens et services, qui sont souvent soumis à des restrictions», a détaillé Silouanov. Il a ajouté que la Russie développait déjà des règlements en devises nationales avec ses partenaires commerciaux.

Face aux sanctions, la Russie veut se détacher du dollar

07/11/2018

Moscou – Rouble, euro, yuan… tout, sauf le dollar! Alors que la Russie semble sous un régime de sanctions économiques pour longtemps, le Kremlin redouble ses efforts pour détacher l’économie russe de la monnaie américaine, incontournable dans le commerce mondial.

Evoqué de longue date sans résultat majeur, l’ardu projet des autorités de « dédollariser » l’économie russe devient plus que jamais nécessaire au moment où les milieux d’affaires craignent l’annonce imminente de nouvelles mesures punitives américaines. 

Quatre ans après l’introduction des premières sanctions occidentales contre Moscou à la suite de l’annexion de la Crimée, puis du conflit dans l’est de l’Ukraine, les restrictions se renforcent sur les transactions financières russes. Et avec elles, les risques grandissent pour ceux qui y participent d’être poursuivis aux Etats-Unis simplement pour avoir utilisé le dollar. 

Les ministères de l’Economie et des Finances ainsi que la banque centrale doivent ainsi présenter prochainement des mesures au Premier ministre Dmitri Medvedev pour accroître l’utilisation d’autres devises dans les transactions internationales. 

– « Limiter les risques » – 

Le rétablissement par le président Donald Trump des sanctions américaines contre l’Iran et la guerre commerciale entre les Etats-Unis et la Chine semblent propices à ces rapprochements, poussant les partenaires de la Russie à accepter de jouer le jeu pour protéger leurs entreprises d’une politique imprévisible. 

Selon les analystes de l’assureur-crédit Euler Hermes Group, « les efforts précédents (de dédollarisation) ont échoué, mettant en lumière la nécessité de coopérer étroitement avec d’autres pays. Cela pourrait être plus simple aujourd’hui au vu de du protectionnisme croissant des Etats-Unis« . 

Ils estiment que réduire de manière significative la dépendance au dollar pourrait prendre entre 1,5 et 5 ans. 

Les candidats idéaux pourraient être l’Union européenne et la Chine qui pèsent ensemble 60% du commerce extérieur russe. 

Le président russe Vladimir Poutine évoque régulièrement le sujet lors de ses rencontres avec des dirigeants étrangers, comme en septembre son homologue chinois Xi Jiping. Courant octobre, les autorités russes ont annoncé préparer un accord intergouvernemental sur les règlements bilatéraux en monnaies nationales avec la Chine. 

Selon la banque ING, les échanges sino-russes effectués en roubles ou en yuans ont déjà quadruplé au cours des dernières quatre années, bien qu’ils plafonnent à 18-19%. 

Pour aller plus loin, le fonds souverain russe a mis en place deux fonds de coopération avec la Chine à hauteur de 70 milliards de yuans en tout, destinés à régler des transactions en monnaies nationales. 

« Les premières transactions sont attendues dès 2019. Des outils d’investissement similaires pourraient être créés avec d’autres pays« , suggère Dmitri Polevoï, chef économiste principal du fonds souverain russe RDIF. 

Il souligne qu' »il y a déjà eu une réduction naturelle des paiements en dollars au fil des années« . 

Selon les données de la banque centrale russe, entre 2013 et 2017 la part de paiements en dollars américains dans les exportations de biens et services a décliné de 80% à 68%. Parallèlement, la part de l’euro est passée de 9% à 16% et celle du rouble de 10% à 14%.  

Pour les importations, le mouvement est moins fort mais la part du dollar est passée de 41% à 36%. 

Nouvel exemple de cette tendance en octobre: le vice-Premier ministre russe Iouri Borissov a annoncé que l’Inde paierait en rouble son achat de systèmes anti-aériens russes S-400. 

Selon l’économiste Oleg Kouzmine, de Renaissance Capital, l’obstacle principal aux transactions en monnaies nationales moins importantes que le yuan est que « personne n’a besoin, par exemple, de roubles russes en Croatie ou de la monnaie croate en Russie« . 

« Mais s’il y a un mécanisme simple et efficace pour changer directement une devise dans une autre, alors cela peut fonctionner« , suggère-t-il. « Dans le cas de l’adoption de sanctions très dures, cela permettrait à la Russie de limiter les risques« . 

La présidente de la banque centrale Elvira Nabioullina a pour sa part affirmé vouloir « inciter doucement les banques à passer au rouble« , et « réduire le rôle du dollar dans leurs bilans » en prêtant moins en dollars. 

Selon Euler Hermes, d’autres mesures pourraient prévoir le transfert des principaux groupes russes des places financières étrangères vers la Bourse russe et l’augmentation des réserves d’or et d’euros. La Russie a déjà réduit son volume de dettes américaines. 

Malgré un volontarisme affiché, la Russie se heurte à un obstacle majeur: son économie repose toujours en grande partie sur les hydrocarbures, libellés en dollars, et cela ne semble pas prêt d’évoluer. 

DOSSIER SECRET – L’Assassinat de Christophe De Margerie, PDG de TOTAL

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Christophe Rodocanachi-Jacquin de Margerie, dit Christophe de Margerie, est un chef d’entreprise français, né le 6 août 1951 à Mareuil-sur-Lay (Vendée) et mort le 20 octobre 2014 à Moscou.

Il effectue toute sa carrière au sein du groupe Total, dont il devient le directeur général en 2007 puis le président-directeur général en 2010. À l’issue d’un déplacement professionnel à Moscou, au moment de décoller de l’aéroport international de Vnoukovo en vue de rentrer à Paris, il est victime d’un accident d’avion, dans lequel il est tué, en même temps que les trois membres de l’équipage, le 20 octobre 2014.

En reprenant l’avion pour Paris, Christophe de Margerie quittait tout juste Vladimir Poutine avec qui il venait d’avoir un entretien. #industrie pétrolière, #transactions, #monnaie, #dollars.

Quelques semaines plus tard, le 6 décembre 2014, en plein refroidissement des relations des pays de l’alliance avec la Russie, François Hollande, revenant du Kazakhstan où la France, Total et GDF/Suez (aujourd’hui ENGIE) possèdent d’importants intérêts pétroliers, fait escale à Moscou, au même aéroport, pour y rencontrer Vladimir Poutine, à la surprise générale.

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Navire amiral « Christophe de Margerie » à Saint-Petersbourg : Hommage de Vladimir POUTINE et de la Russie au PDG de TOTAL – Vidéo

http://www.politique-actu.com/actualite/navire-amiral-christophe-margerie-saint-petersbourg-hommage-vladimir-poutine-russie-total-video/1681654/

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NOTE POLITIQUE-ACTU.com

La CIA : Le Club des assassins !
De Margery – PDG de TOTAL – n’a-t-il pas été assasssiné par la CIA ?


Selon les Russes, le PDG de Total aurait été assassiné par la CIA

Saddam Hussein et Kadhafi l’ont payé de leur vie. La seule monnaie d’échange dans la vente du gaz et du pétrole doit être le dollar. C’est une ligne rouge qu’aucun Etat au monde ne doit franchir. C’est pour avoir touché à ce dogme que Christophe de Margerie, le PDG de Total, aurait été assassiné.

Un inquiétant bulletin du Federal Security Service (FSB) délivré à tous les ministres durant l’heure précédente y a classé toutes les informations relatives à l’accident de l’avion d’affaires Dassault Falcon 50 à l’aéroport international de Vnukovo (VKO) qui a tué Christophe de Margerie, PDG du géant du pétrole français Total ( le 13ème plus grand producteur du monde et 2e plus grand d’Europe), plus tôt aujourd’hui a été classé comme ayant une importance particulière, qui correspond au haut niveau de classification et se réfère à l’information qui, si elle est libérée, pourrait causer des dommages à l’ensemble de la Fédération de Russie. 

Selon ce bulletin, l’enquête préliminaire du FSB dans cet accident a montré qu’au moment du décollage à 00h10, heure de Moscou, le nez du train d’atterrissage de l’avion est entré en collision avec un chasse-neige et a basculé, provoquant un incendie qui a éclaté après la collision, mais il n’y avait pas eu d’explosion, et qui a été rapidement maîtrisé par les services de l’aéroport. 

Le FSB a également confirmé que Christophe de Margerie était le seul passager de l’avion et est mort avec l’équipage de l’avion dans la collision. Sa mort a été confirmée par Total et le directeur du service de presse de l’aéroport international de Vnukovo. 

Parmi les différentes versions de l’accident en cours d’enquête publique, le FSB dit, qu’il y a une culpabilité des pilotes, la culpabilité des dispatchers, la culpabilité du conducteur du chasse-neige et de la mauvaise visibilité. 

Cependant, ce qui est inquiétant est que le FSB affirme en outre qu’ils ont découvert ” des contradictions inexplicables “entre les informations récupérées à partir des boites noires de l’avion et les informations de la tour de contrôle publiées qui ont montré que cet avion a été ” subrepticement dirigé “dans la trajectoire du chasse-neige qui roulait sur ​​une autre piste, dont il a été rapporté que le conducteur était sobre et l’avocat a déclaré que son client “souffre d’une maladie cardiaque aiguë; il ne boit pas du tout et il y a des amis et les parents qui peuvent témoigner de cela.” 

Concernant les ” actions et les motivations “ des « acteurs étatiques » [euphémisme du FSB pour désigner la Central Intelligence Agency ( CIA )] en cherchant à assassiner Christophe de Margerie, ce bulletin dit, que s’était dû à la réunion qu’il venait de conclure avec le Premier ministre Dmitri Medvedev, dans lequel Total et son partenaire, le plus grand producteur de pétrole et de gaz indépendant de Russie Novatek , commenceraient la vente de pétrole et de gaz naturel liquide (GNL) en euros ou en roubles, et non en Dollars US (aka: pétrodollars). 

Le FSB note que Total et Novatek ont ensemble un projet de 21000000000 € (27 milliards de dollars) pour développer un projet de GNL Yamal dans l’Arctique russe, qui devrait commencer à produire en 2017. Les réserves du champ sont estimées à environ l’équivalent de 800 millions de barils de pétrole, à partir de laquelle les deux sociétés pourraient un jour produire autour de 15 millions de tonnes par an de GNL (gaz naturel liquide). 

Le PDG de Total Christophe de Margerie a encore plus enragé le régime d’Obama, selon le FSB, quand en juin dernier, tout en répondant à des questions sur les appels lancés par les responsables politiques français pour trouver des moyens au niveau de l’UE pour soutenir l’utilisation de l’euro dans le commerce international après une amende-record envers BNP Paribas SA, la plus grande banque de France, a déclaré: ” Il n’y a aucune raison de payer le pétrole en dollars . “(…) 

L’addendum historique du FBS note à leur bulletin que le système des pétrodollars a été mis en place après que le président Richard Nixon a bouleversé l’économie mondiale le 15 août 1971, quand il a officiellement mis fin à la convertibilité internationale de l’US Dollars en or, portant ainsi la fin officielle de l’arrangement de Bretton Woods qui a stabilisé l’économie mondiale à la suite de la Seconde Guerre mondiale. 

Deux ans plus tard, dans un effort pour maintenir la demande mondiale de dollars américains, un autre système a été créé appelé le système des pétrodollars et en 1973, un accord a été conclu entre l’Arabie Saoudite et les États-Unis dans lequel chaque baril de pétrole acheté par les Saoudiens serait libellée en dollars américains. 

En vertu de cette nouvelle entente, tout pays qui cherche à acheter du pétrole à l’Arabie Saoudite doit nécessairement échanger d’abord leur propre monnaie nationale pour les dollars américains. (…) 

En 1975, tous les pays de l’OPEP avaient accepté le paiement de leurs propres approvisionnements en pétrole exclusivement en dollars américains en échange d’armes et de la protection militaire. Ce système des pétrodollars, ou plus simplement connu comme ” oif for dollars “, créé une demande artificielle immédiate de l’US Dollars dans le monde entier. Comme la demande mondiale de pétrole a augmenté, elle a donc fait augmenter la demande de dollars des États-Unis, un plan qui permet à l’Amérique de rester à flot en dépit d’avoir une dette de près de 18.000 milliards de dollars. 

L’existence de pétrodollars, selon les notes du FSB, est l’un des piliers de la puissance économique des USA, car elle crée une demande externe importante pour la devise américaine, ce qui permet aux États-Unis d’accumuler des dettes énormes sans défaut. 

Avec la Russie maintenant diabolisé et sanctionné par le régime Obama, en raison de sa politique de retrait du dollar américain pour l’achat de pétrole et de gaz, ce bulletin du FSB conclut, la France a rejoint avec l’Irak, la Libye, la Syrie et l’Iran dans la souffrance, la colère de l’audace pour aller à l’encontre du pétrodollar (…) 

Source: Groupe HERMES


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