Nouveaux radars pour financer le désendettement

Automobiliste, le « racket » continu – 20,9% des recettes servent au désendettement – 1 amende radar sur 5 finance le désendettement de l’Etat. 

Les recettes générées par les radars automatiques financent de moins en moins la lutte contre l’insécurité routière. Au cours de l’année dernière, elles ont été utilisées deux fois plus pour pour financer le désendettement de l’Etat. Chaque année depuis 2017, le gouvernement publie un rapport présentant les différentes utilisations du produit des amendes issues du contrôle automatisé et des autres amendes routières.
Le rapport très détaillé précise qu’au cours de l’année 2018, les radars automatiques ont rapporté 864,35 millions d’euros qui se répartissent en 682,7 M€ pour les amendes forfaitaires et 181,7M€ pour les amendes majorées.

Sur ce total, ce sont 180,4 M€ qui contribuent au désendettement de l’Etat soit 20,9%. En moyenne, c’est donc une amende issue du contrôle automatisé sur cinq qui est utilisée pour cela.

Cela constitue une hausse spectaculaire par rapport aux années précédentes lors desquelles, même si le montant global des amendes était plus important, la part utilisée pour le désendettement restait inférieure à 9% et représentait une somme bien inférieure à 100 M€.

En 2016, les amendes radars ont rapporté 920 M€ et seulement 75 M€, soit 8,2%,  étaient consacrés au désendettement.

En 2017, les amendes radars ont rapporté 1,013 milliard d’euros et seulement 88,7 M€, soit 8,8%, étaient consacrés au désendettement.

La part des collectivités en baisse

La répartition du produit des amendes radars suit des règles précises qui peuvent être modifiée chaque année par la Loi de finances. C’est exactement ce qui c’est passé l’année dernière et c’est ce qui explique pourquoi les amendes radars financent encore plus le désendettement de l’Etat au détriment de la mission de lutte contre l’insécurité routière.

En effet, avant 2018, les radars participaient au désendettement uniquement sur la part des amendes majorées. Mais cette règle a désormais changé puisque désormais chaque année, une partie des recettes des amendes forfaitaires est également prélevée pour financer le désendettement.

En 2018, le montant de cette part était fixé à 95 M€ mais il est prévu qu’elle passe à 99 M€ en 2020.

Ce montant est prélevé sur les recettes qui revenaient auparavant aux collectivités territoriales et plus précisément aux communes. Pour le gouvernement, la raison est simple, il s’agit de compenser la perte de recettes liées à la dépénalisation du stationnement payant avec l’arrivée des forfaits de post-stationnement.

La manne financière des amendes de stationnement payant était auparavant encaissée par l’Etat qui en ponctionnait une partie pour le désendettement avant de redistribuer le solde aux communes. Comme désormais le montant des FPS est encaissé directement par les communes, le gouvernement a choisi de prélever le manque à gagner directement dans la caisse des amendes issues des radars automatiques…

Nouveaux radars : 2000 tourelles d’ici la fin de l’année 2019 !

A savoir : pour le moment, seuls la vitesse et le non respect des feux rouges ont été homologués par le Laboratoire de métrologie et d’essais en septembre dernier. Toutefois, les Mesta Fusion pourraient, à terme, contrôler les distances de sécurité, le dépassement par la droite, la circulation sur les bandes d’arrêt d’urgence, le port de la ceinture de sécurité, l’usage du téléphone au volant, la circulation dans une zone interdite (Crit’air), le non-respect de la bonne voie de circulation (tourner depuis une voie prévue pour aller tout droit ou l’inverse), l’engagement dans un carrefour sans pouvoir en sortir (cause de nombreux bouchons).  

Les radars font désormais la chasse aux automobilistes non assurés

AFP – 16 octobre 2019

Désormais, lorsqu’un véhicule se fera flasher pour excès de vitesse, une vérification sera effectuée pour savoir si le véhicule est assuré. Si ce n’est pas le cas, le conducteur risque une amende de 750 euros.

En France, chaque véhicule, même ceux qui ne roulent pas, doit être assuré. 

Or, selon l’Observatoire national interministériel de la sécurité routière (ONISR) de 2018, 700.000 personnes rouleraient sans assurance. Ces derniers sont aujourd’hui dans le viseur dans de la Sécurité routière. Dès à présent, lorsqu’un véhicule se fera flasher, pour excès de vitesse ou le franchissement d’un feu rouge par exemple, une vérification sera effectuée pour savoir si le véhicule est assuré, a annoncé mardi 15 octobre le ministère de l’Intérieur. 

Ce nouvel usage des radars est rendu possible grâce à la création depuis janvier dernier d’un fichier des véhicules assurés (FVA) qui « contient les informations relatives aux contrats souscrits par les assurés : l’immatriculation du véhicule, le nom de l’assureur et le numéro du contrat avec sa période de validité ». 

« Dans un premier temps, nous allons envoyer des courriers de prévention », précise ce mercredi sur Franceinfo Emmanuel Barbe, délégué interministériel à la sécurité routière. Mais après l’avertissement, viendra la sanction. « En demandant aux personnes de s’assurer, on va d’abord essayer de favoriser la réassurance ou l’assurance spontanée après avertissement. Et puis, dans quelques mois seulement, si on n’est pas assuré et flashé, on recevra une amende forfaitaire délictuelle de 750 euros », indique Emmanuel Barbe. Ce montant vise à sensibiliser les conducteurs aux risques qu’ils courent à ne pas assurer leur véhicule. 

En verbalisant les conducteurs non assurés, la Sécurité routière espère ainsi faire reculer ce phénomène qui peut coûter très cher principaux concernés. En effet, en cas d’accident, ces automobilistes doivent parfois payer toute leur vie pour indemniser les accidentés. L’an dernier, 175 personnes ont été tuées par un véhicule non assuré. Ces dernières années, le Fonds de Garantie des Assurances Obligatoires de dommages (FGAO), qui intervient dans un premier temps, a noté une hausse constante de ces cas de figure. De 2013 à 2018, le nombre de victimes a augmenté de 12 %, atteignant en 2018 30.873 personnes. L’an dernier encore, le FGAO a dû se substituer à 25.973 conducteurs non assurés à hauteur de 119 millions d’euros.

Une partie de l’amende servira par ailleurs à contribuer au FGAO. « On peut considérer que là où une assurance aurait coûté 100 euros par mois, ça vous coûtera 1.000 euros par mois d’indemnisation… Rouler non assuré, c’est d’abord courir un risque extrêmement grave de bousiller sa vie ! Des personnes à qui c’est arrivé se sont retrouvées toute leur vie à devoir payer cette dette qu’elles se sont créée elles-mêmes », insiste Emmanuel Barbe. 

RADARS – Le bilan 2018 des radars est tombé. Quels sont les radars qui ont le plus flashé en 2018 ? Le Figaro annonce par ailleurs de nouvelles fonctions avec la possibilité de contrôler également le défaut d’assurance sur un véhicule.

Un automobiliste flashé pour un excès de vitesse sera également prochainement contrôlé sur sa situation de police d’assurance.

Comment ?

Tout simplement en croisant sa plaque d’immatriculation avec le nouveau fichier des véhicules assurés (FVA) créé au début de l’année 2019. Le quotidien précise qu’une période de clémence sera accordée, le conducteur non assuré et flashé se voyant averti par courrier mais pas verbalisé pour cette autre infraction. Cela changera vite avec à terme une amende forfaitaire de 500 euros,  minorée à 400 euros si le règlement est effectué dans les 15 jours ou majorée à 1000 euros au bout de 45 jours. L’objectif est de lutter contre ce fléau qui coûte cher puisque 700 000 conducteurs circuleraient aujourd’hui sans assurance !

Carte des radars : les radars qui flashent le plus

Chaque année, la Sécurité routière publie le classement des radars qui flashent le plus en France l’année passée. En 2018, c’est le radar de Cagnes-sur-Mer, sur l’autoroute A8, qui a le plus verbalisé d’automobilistes avec au total 115 558 flashs. Il détrône celui d’Etrembières sur l’autoroute A40 dans le sens Chamonix-Mâcon, qui arrive cette année en seconde position avec 112 684 flashs. Retrouvez le classement des dix radars ayant le plus flashé en 2018 ci-dessous !

Top 10 des radars ayant le plus flashé en 2018 :

  1. Radar sur l’autoroute A8 dans le sens Nice-Cannes à Cagnes-sur-Mer (Alpes-Maritimes) : 115 558 flashs
  2. Radar sur l’autoroute A40 dans le sens Chamonix-Mâcon à Etrembières (Haute-Savoie) : 112 684 flashs
  3. Radar sur l’autoroute A10 dans le sens province-Paris à Janvry (Essonne) : 111 728 flashs
  4. Radar sur l’autoroute A31 dans le sens Metz-Toul à Maxéville (Meurthe-et-Moselle) : 105 134 flashs
  5. Radar sur l’autoroute A709 dans le sens Nîmes-Béziers à Montpellier (Hérault) : 104 876 flashs
  6. Radar sur l’autoroute A10 dans le sens Paris-Chartres à Massy (Essonne) : 103 954 flashs
  7. Radar sur l’autoroute A10 dans le sens Paris-Chartres à Briis-sous-Forges (Essonne) : 90 823 flashs
  8. Radar sur l’autoroute A35 dans le sens Colmar-Strasbourg à Geispolsheim (Bas-Rhin) : 89 099 flashs
  9. Radar sur la RD 907 dans le sens Cavaillon-Avignon à Avignon (Vaucluse) : 87 836 flashs
  10. Radar sur l’autoroute A8 dans le sens Puget-sur-Argens-Mandelieu-la-Napoule aux Adrets de l’Estérel (Var) : 80 753 flashs

Nouveaux radars : ce à quoi il faut s’attendre

Un radar plus difficile à dégrader qu’avant

Les radars automatiques ont souffert en 2018, avec l’abaissement de la limitation de vitesse à 80 km/h sur le réseau secondaire et la mobilisation des gilets jaunes en novembre, qui a vu de nombreux radars être dégradés. S’en prendre à un radar tourelle devrait être plus compliqué. Les vrais radars seront déjà difficiles à différencier des faux. Et puis ces radars tourelles sont perchés en haut d’un mât de 2,6 mètres de haut. Avec la cabine, le radar tourelle mesure près de 4 mètres ! Pour l’Etat, c’est également un bon point en termes d’entretien, même si les dépenses destinées aux radars automatiques devraient augmenter de 10% pour l’année 2019 et atteindre 340 millions d’euros.

Comment ça fonctionne ?

Mais comment fonctionne ce radar tourelle, décrit comme une redoutable machine à PV par les spécialistes ? A priori, il fonctionne de la même façon que les radars classiques. Sauf que, comme nous l’expliquait Philippe Arnaud en 2016, « le capteur du radar tourelle Mesta Fusion est plus complexe que sur les appareils précédents. Il enregistre à chaque milli-seconde la position du véhicule, ce qui permet d’analyser sa vitesse, sa vitesse moyenne et de calculer sa trajectoire. L’analyse est beaucoup plus sophistiquée. Le radar est également capable de mesure la distance entre les véhicules et de sanctionner le non-respect des distances de sécurité mais aussi d’analyser si un conducteur met un coup de frein important à l’approche d’un radar ce qui peut être vu comme un comportement dangereux. » Eh oui, dorénavant, piler avant de passer devant un radar pourrait ne plus suffire pour ne pas être verbalisé !

Un radar révolutionnaire et high-tech

Ce nouveau radar porte le nom de Mesta Fusion. Il est donc plus communément appelé « radar tourelle » et a été développé par l’entreprise française Safran via sa filiale Morpho aujourd’hui intégrée au sein de l’entreprise Idemia. Haut de 4 mètres, ce radar tourelle a été homologué à la fin du mois de septembre 2018 par le Laboratoire national de métrologie et d’essais (LNE), selon le site Radars-auto.com. Prenant la forme d’un mat noir et blanc avec plusieurs ouvertures, le radar tourelle est beaucoup plus performant que les radars automatiques classiques. « Ce qui change principalement avec cette nouvelle génération de radars, c’est le champ d’action », nous précisait fin 2016 Philippe Arnaud, directeur de l’unité transport chez Safran, lors du début de la phase de tests. Plus complet, le radar tourelle fait bien plus de choses que seulement mesurer la vitesse des véhicules qui passent sous ses objectifs.

Un radar qui peut analyser le comportement des conducteurs… et les punir !

Le radar tourelle est capable de surveiller la vitesse de 32 véhicules en même temps, et les infractions diverses de 126 véhicules en même temps. Avec une portée de 200 mètres, il peut contrôler de nombreuses infractions différentes. Innovation oblige, il va permettre de verbaliser des infractions autrefois réservées à l’appréciation des forces de l’ordre. « Auparavant, nous étions uniquement sur la détection d’infractions de vitesse, qui n’est plus qu’un « petit morceau » pour le Mesta Fusion, explique Philippe Arnaud. « Le Mesta Fusion permet une analyse comportementale du conducteur, de voir comment il conduit par le biais de la mesure de sa vitesse mais aussi de ses changements de voies, du franchissement de feu rouge, de stop, s’il roule sur la mauvaise voie (dépassement par la droite) ou s’il freine brusquement… »

Quelles infractions seront sanctionnées par le radar tourelle ?

C’est donc une certitude maintenant : le radar tourelle va être capable de verbaliser beaucoup plus d’infractions routières que nos bons vieux radars automatiques. A côté de ce nouveau radar tourelle, ces derniers sont même carrément dépassés. Si certaines fonctions ne seront pas activées tout de suite en France, voici la liste des infractions que le radar tourelle est capable de détecter :

  • Non-respect de la limitation de vitesse
  • Dépassement interdit
  • Non-respect des distances de sécurité
  • Utilisation du téléphone portable au volant
  • Absence de la ceinture de sécurité (conducteur et passagers)
  • Feu rouge ou stop brûlé

Il peut analyser plusieurs voies et plusieurs types de véhicules en même temps

« Le Mesta Fusion peut analyser 30 à 40 véhicules en temps réel sur 8 voies différentes, souligne Philippe Arnaud, de Safran. Il est capable de différencier les véhicules (poids lourds, voitures, deux roues…) et de s’adapter à la réglementation spécifique pour chaque type de véhicule, par exemple pour la mesure de la vitesse. » Et ce dans les deux sens de circulation et sur de nombreuses voies… Le radar tourelle est également capable de contrôler 126 véhicules en même temps pour des infractions autres que les excès de vitesse. En dehors de nos frontières, le radar tourelle intéresse d’autres pays comme l’Arabie Saoudite, le Canada, ou encore le Kazakhstan, où il est déjà en phase de test. Il est également en service au Qatar et aux Emirats Arabes Unis.

Il peut enregistrer une vidéo et prendre des photos en HD

Le radar tourelle est capable de garder des traces de vos infractions. Une manière de limiter les possibilités de réclamations une fois l’amende reçue à votre domicile. « Beaucoup de pays sont intéressés par la captation vidéo pour des raisons de sécurité routière mais aussi de sécurité publique. Le Mesta Fusion peut prendre des photos en très haute définition (36 millions de pixels) pour régler les litiges. C’est le cas par exemple du franchissement de feux rouges où il y a aujourd’hui beaucoup de contestations. Le radar pourra par exemple prendre plusieurs photos pour afficher la couleur du feu, avant et pendant le passage du véhicule. Il peut également prendre des vidéos mais cette fonctionnalité ne sera activée qu’en fonction de la législation des pays concernés », assurait Philippe Arnaud en 2016. Ce n’est pas gagné a priori en France et dans l’Union Européenne, mais la qualité des photos pourrait permettre d’augmenter le nombre réel d’infractions et surtout le nombre d’amendes payées. Cela va-t-il être le jackpot pour l’Etat ?

Il pourra être installé sur voie rapide ou à un feu

Le radar tourelle va être capable de contrôler plusieurs infractions en même temps. Il pourra ainsi être installé à un carrefour doté de plusieurs feux tricolores. Outre le franchissement des feux, le radar tourelle pourra contrôler votre vitesse lorsque vous vous engagerez dans le carrefour ! Une véritable machine à PV décrite comme un « équipement modulaire » par Safran. « Le même équipement s’adapte à son positionnement pour activer différentes fonctionnalités. Installé à une intersection (stop ou feu rouge), il pourra sanctionner le franchissement illicite de l’intersection (par exemple au feu rouge) alors que sur une voie rapide, il pourra analyser les distances, la vitesse ou encore la trajectoire du véhicule », résumait en 2016 Philippe Arnaud.

Des zones leurres sur nos routes, un système imparable ?

 Contrairement aux radars classiques, le radar tourelle pourrait être bien plus difficile à détecter. Ce super radar pourra en effet être placé aléatoirement à différents endroits d’une portion particulière, ciblée par les autorités. Ces « zones de leurres » intègreront plusieurs radars, sans vous dire où sont ceux qui flashent pour de vrai. Les cabines seront même équipées d’un film opaque qui empêchera les automobilistes de voir si elles sont vides ou pas. « Le Mesta Fusion est composé de deux parties, une active et une façade, poursuivait Philippe Arnaud, de Safran, en 2016. Une partie du parc sera active, le reste ne sera composé que d’une façade. L’automobiliste ne saura pas quel radar est réellement en fonctionnement au moment où il passe dans cette zone. » Imparable ?

Les 15 premiers emplacements 

  • Vichy dans l’Allier sur l’allée des Ailes dans le sens menant à Vichy à un carrefour situé après le rond-point du supermarché Cora. Vitesse maximale autorisée : 50 km/h.
  • Marseille (Bouches du Rhône) sur l’A507 dans le sens Marseille-Aubagne entre La Rose et Saint-Loup avant l’embranchement pour l’A50 vers Aubagne. Vitesse maximale autorisée : 70km/h
  • Chenôve en Côte d’Or, rue de Longvic menant à Chenôve au carrefour avec la rue de Marsannay. Vitesse limite 50 km/h.
  • Floirac en Gironde sur la N230 sur la rocade intérieure à l’échangeur n°24 à Floirac. Vitesse maximale autorisée : 90km/h.
  • Mimizan dans les Landes sur la D626 menant à Mimizan Plage. Vitesse maximale autorisée : 50 km/h.
  • Thionville en Moselle sur la D14 dans le sens menant à Volkrange sur la rocade entre le centre Leclerc et le cinéma multiplex Kinépolis. Vitesse maximale autorisée : 90 km/h.
  • Roubaix dans le Nord, avenue des Nations-Unies, dans le sens Tourcoing-Roubaix. Vitesse maximale autorisée : 50 km/h.
  • Rochefort-Montagne dans le Puy-de-Dôme sur la D2089 menant à Clermont-Ferrand, à l’entrée de Rochefort-Montagne près du collège. Vitesse maximale autorisée : 50km/h.
  • Strasbourg dans le Bas-Rhin quai Louis Pasteur dans le sens menant à l’Esplanade, au carrefour de la rue de la Plaine-des-Bouchers. Vitesse maximale autorisée : 50km/h.
  • Civrieux d’Azergues dans le Rhône sur la D385 dans le sens menant à Lozanne au passage à niveau. Vitesse maximale autorisée : 80 km/h.
  • Roissy-en-Brie en Seine et Marne. Avenue du Maréchal-Foch dans le sens menant à Pontcarré. Vitesse maximale autorisée : 50 km/h. Contrôle aussi le franchissement du passage à niveau PN8.
  • Saint-Germain-en-Laye dans les Yvelines sur la N184 menant de l’A14 à Conflans-Saint-Honorine et Cergy. Avant le carrefour de la Fête des Loges. Vitesse maximale autorisée : 70 km/h.
  • Le Thillot dans les Vosges sur la N66 dans le sens Mulhouse-Epinal au carrefour de la rue Charles-De-Gaulle et de la rue Jules-Ferry. Vitesse maximale autorisée : 50 km/h. Contrôle également le passage au feu rouge.
  • Mimizan dans les Landes sur la D626 menant à Mimizan Plage. Vitesse maximale autorisée : 50 km/h.
  • Thionville en Moselle sur la D14 dans le sens menant à Volkrange sur la rocade entre le centre Leclerc et le cinéma multiplex Kinépolis. Vitesse maximale autorisée : 90 km/h.
  • Roubaix dans le Nord, avenue des Nations-Unies, dans le sens Tourcoing-Roubaix. Vitesse maximale autorisée : 50 km/h.
  • Rochefort-Montagne dans le Puy-de-Dôme sur la D2089 menant à Clermont-Ferrand, à l’entrée de Rochefort-Montagne près du collège. Vitesse maximale autorisée : 50km/h.
  • Strasbourg dans le Bas-Rhin quai Louis Pasteur dans le sens menant à l’Esplanade, au carrefour de la rue de la Plaine-des-Bouchers. Vitesse maximale autorisée : 50km/h.
  • Civrieux d’Azergues dans le Rhône sur la D385 dans le sens menant à Lozanne au passage à niveau. Vitesse maximale autorisée : 80 km/h.
    Roissy-en-Brie en Seine et Marne. Avenue du Maréchal-Foch dans le sens menant à Pontcarré. Vitesse maximale autorisée : 50 km/h. Contrôle aussi le franchissement du passage à niveau PN8.
    Saint-Germain-en-Laye dans les Yvelines sur la N184 menant de l’A14 à Conflans-Saint-Honorine et Cergy. Avant le carrefour de la Fête des Loges. Vitesse maximale autorisée : 70 km/h.
    Le Thillot dans les Vosges sur la N66 dans le sens Mulhouse-Epinal au carrefour de la rue Charles-De-Gaulle et de la rue Jules-Ferry. Vitesse maximale autorisée : 50 km/h. Contrôle également le passage au feu rouge.

Source : www.linternaute.com – le 09/05/19

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