Municipales : LREM étiquette un peu trop gênante

LREM a conseillé à ses candidats de ne pas afficher le logo LREM.
On peut aisément comprendre leurs motivations vu le sentiment de rejet provoqué par ce mouvement politique au sein de la population française.

Anticipant un échec aux municipales, la majorité sort du chapeau la suppression des étiquettes dans les petites communes.
Basta les « divers gauche » ou « divers droite », place aux « sans étiquette » !


Pour la première fois, La République en Marche (LREM) va présenter des milliers de candidats aux municipales, dont beaucoup de novices en politique. Alors pour leur apprendre le b.a.-ba d’une campagne, le parti présidentiel leur a remis un guide, sorte de “Municipales pour les Nuls”. Avec des conseils parfois étonnants : comme omettre l’étiquette En Marche. Article FranceInfo – publié le 18/12/2019 

Christophe Castaner a tranché. Dans une circulaire envoyée aux préfets, il indique que les nuances politiques ne seront prises en compte que pour les villes de plus de 9.000 habitants. Ainsi, 96% des communes françaises et plus d’un électeur sur deux seront désormais hors du jeu politique national. Un tour de passe-passe qui vise à grossir artificiellement les scores de LREM aux municipales. Lors de ses vœux à la presse, le 15 janvier, Emmanuel Macron a affirmé qu’il « tirerai[t] pas de manière automatique des conséquences nationales » car il « considère que les élections municipales, ce n’est pas une élection nationale ». Croyez-le ou non.

On le sait, Emmanuel Macron ne brille pas par son ancrage politique local. Le Président-marcheur aura sauté toutes les étapes traditionnelles, conquérant d’emblée l’Élysée en 2017, avant de « descendre » sur les institutions, Assemblée nationale en premier lieu. Le Sénat lui a résisté en 2017, et pour cause, les sénateurs sont élus indirectement par les élus locaux… C’est ainsi que les deux années à venir vont lui être décisives : 2020, municipales, 2021, régionales.

« LE PROBLÈME C’EST LAREM »

72 maires et élus locaux de droite et du centre qui annoncent leur soutien à Macron

En tant que maires, en tant qu’élus de proximité en prise directe avec les réalités des Français, nous devons prendre notre part à ce travail de reconstruction nécessaire et largement attendu.

Notre pays doit s’appuyer sur des bases solides pour bâtir son avenir. L’essentiel des réformes se construit au local dans l’écoute, la co-construction et la réponse concrète aux attentes de nos concitoyens. Nous sommes de ceux qui souhaitent la réussite impérative de la France, c’est pourquoi nous voulons la réussite du président de la République et du gouvernement car rien ne se construira sur leur échec.

Les signataires :

  1. Christophe Béchu, Maire d’Angers (49)
  2. Delphine Bürkli, Maire du 9e arrondissement (75)
  3. Philippe Augier Maire de Deauville (14),
  4. Frédéric Augis Maire de Joué les Tours (37),
  5. Dominique Baert Maire de Wattrelos (59),
  6. Jérôme Baloge Maire de Niort (79),
  7. Daniel Benquet Maire de Marmande (47),
  8. Éric Berdoati Maire de Saint-Cloud (92),
  9. Pascal Blanc Maire de Bourges (18),
  10. Jean-Luc Bléher Maire de Guer (56),
  11. Yves Bleuven Maire de Grand-Champ (56),
  12. Luc Bouard Maire de la Roche-sur-Yon (85),
  13. Christophe Bouchet Maire de Tours (37),
  14. Pierre Breteau Maire de Saint-Grégoire (35),
  15. Laurent Brosse Maire de Conflans-Saint-Honorine (78),
  16. Olivier Carré Maire d’Orléans (45),
  17. Pierre-Marie Charvoz Maire de Saint-Jean-de-Maurienne (73),
  18. Gwendoline Chaudoir Maire de Portiragnes (34),
  19. Alain Chrétien Maire de Vesoul (70),
  20. François Commeinhes Maire de Sète (34),
  21. Nicolas Criaud Maire de Guérande (44),
  22. Gérard Daniélou Maire de Cléder (29),
  23. Grégoire de Lasteyrie Maire de Palaiseau (91),
  24. Guillaume Delbar Maire de Roubaix (59),
  25. Grégoire de la Roncière Maire de Sèvres (92),
  26. François Decoster Maire de Saint-Omer (62),
  27. Laurent Degallaix Maire de Valenciennes (59),
  28. Rodrigue Desmet Maire de Roncq,
  29. Chantal Eyméoud Maire d’Embrun (05),
  30. Anne-Marie Forgeoux Maire de Monêtier-les-Bains (05),
  31. Brigitte Fouré Maire d’Amiens (80),
  32. François Gernigon Maire de Verrières-en-Anjou (49),
  33. Marie-Cécile Gessant Maire de Sautron (44),
  34. François Goulard Président du Conseil départemental du Morbihan (56),
  35. Jean-Jacques Guillet Maire de Chaville (92),
  36. Stéphanie Guiraud-Chaumeil Maire d’Albi (81),
  37. Laurent Hénart Maire de Nancy (54),
  38. Hubert Honoré Maire de Courménil (61),
  39. Ludovic Jolivet Maire de Quimper (29),
  40. Fabian Jordan Président de Mulhouse Alsace agglomération (68),
  41. Yvan Lachaud Président de Nîmes Métropole (30),
  42. Marc Laffineur Maire d’Avrillé (49),
  43. Gérard Lebas Premier adjoint au Maire de Châlons-en-Champagne (51),
  44. Franck Le Bohellec Maire de Villejuif (94),
  45. Gwenn Le Nay Maire de Plouay (56),
  46. Olivier Lepick Maire de Carnac (56),
  47. Franck Leroy Maire d’Epernay (51),
  48. Frédéric Leturque Maire d’Arras (62),
  49. Ronan Loas Maire de Ploemeur (56),
  50. Nicolas Meary Maire de Brétigny-sur-Orge (91),
  51. Yves Métaireau Maire de la Baule (44),
  52. Jean-Paul Michel Maire de Lagny-sur-Marne (77),
  53. Philippe Nolland Maire de Pithiviers (45),
  54. Karl Olive Maire de Poissy (78),
  55. Joseph Parpaillon Maire d’Orvault (44),
  56. Arnaud Péricard Maire de Saint-Germain-en-Laye (78),
  57. Teddy Regnier Maire de Chateaubourg (35),
  58. Claude Renoult Maire de Saint-Malo (35),
  59. Franck Reynal Maire de Pessac (33),
  60. Franck Reynier Maire de Montélimar (26),
  61. Christian Robache Maire de Montévrain (77),
  62. David Robo Maire de Vannes (56),
  63. Jean-Louis Roger Maire de Sucé-sur-Erdre (44),
  64. Marie-Hélène Thoraval Maire de Romans-sur-Isère (26),
  65. Jean-Michel Tobie Maire d’Ancenis (44),
  66. Frédéric Valletoux Maire de Fontainebleau (77),
  67. Francisque Vigouroux Maire d’Igny (91),
  68. Louis Vogel Maire de Melun (77),
  69. Alain Vogel-Singer Maire de Pezenas (34),
  70. Jean-Marie Vuylsteker Maire de Tourcoing (59),
  71. Stéphanie Yon-Courtin Maire de Saint-Contest (14),
  72. Pierre Yvroud Maire de La Rochette (77)

le 8 juin 2019Voir ARTICLE JDD

carte participative intitulée «LREM sans étiquette 2020».

Le département des Yvelines semble bien fourni en candidats macronistes (26 à l’heure actuelle) : 

Saint-Arnoult-en-Yvelines, Rambouillet, Les Essarts-le-Roi, Guyancourt, Voisins-le-Bretonneux, Trappes, Les Clayes-sous-Bois, Villepreux, Viroflay, Chesnay-Rocquencourt, La Celle-Saint-Cloud, Louveciennes, Marly-le-Roi, Chatou, Montesson, Houilles, Sartrouville, Maisons-Laffite, Saint-Germain-en-Laye, Croissy-sur-Seine, Port-Marly, Conflans-Sainte-Honorine, Carrière-sous-Poissy, Triel-sur-Seine, Verneuil-sur-Seine, Les Mureaux, Limay et Mantes-la-Ville. 

Officiellement, le parti présidentiel espère obtenir 5 mairies après les municipales :   http://www.leparisien.fr/yvelines-78/yvelines-lrem-reve-de-cinq-fois-plus-d-elus-pour-les-municipales-25-01-2020-8244231.php

Municipales 2020 : un candidat investi malgré lui par LREM ?

Renaud Hée, candidat sans étiquette dans la commune francilienne de Claye-Souilly, jure qu’il « ne voulait pas de cette investiture », relate « Le Parisien ».

La République en marche (LREM) a investi ou soutenu 65 têtes de liste pour les élections municipales de mars 2020. Parmi elles, Renaud Hée, candidat sans étiquette à Claye-Souilly, commune francilienne de plus de 12 000 âmes. Problème : l’intéressé n’aurait rien demandé à la majorité présidentielle… « J’ai été très surpris de recevoir cette investiture ! J’ai appris la nouvelle en recevant un texto de la part d’une députée du département qui me confiait sa surprise après que je lui ai dit que je ne voulais pas de cette investiture », explique-t-il dans les colonnes du Parisien, dimanche 26 janvier.

Renaud Hée a bourlingué au sein de différents partis politiques. Ce fervent opposant à l’actuel maire Les Républicains (LR) de Claye-Souilly a d’abord arboré les couleurs d’Europe Écologie-Les Verts, avant de filer fugacement chez LREM. En octobre 2019, Renaud Hée annonce en effet son désir de se lancer dans la course vers l’hôtel de ville sans étiquette. Dépourvu de ligne politique, cet homme qui connaît « mieux [sa] ville que les différents partis » a pour priorité « d’améliorer la sécurité et préserver l’environnement à Claye-Souilly ».

La mise au point de LREM

Laurent Moretti (LREM), ancien référent départemental et candidat aux élections municipales à Bussy-Saint-Georges, jure, de son côté, qu’aucun candidat n’a été investi ou soutenu contre son gré. « Notre mouvement est peut-être jeune, mais nous n’en sommes pas encore à courir après des candidats ou à les investir de force », lance-t-il aux journalistes du Parisien. Selon lui, aucun partant ne peut bénéficier d’un quelconque soutien de la majorité présidentielle sans avoir signé au préalable une charte éthique du parti ni s’être engagé sur l’honneur à respecter la décision de la Commission nationale d’investiture (CNI).

Municipales : pourquoi il n’y aura aucun candidat LREM en Corse

Aucun prétendant aux élections dans une des villes corses n’a été investi ni même soutenu par le parti majoritaire, ce qui fait de l’île la seule région française dans ce cas.

Par Nicolas BerrodLe 28 janvier 2020 Le Parisien

C’est une spécificité corse. L’île de Beauté est la seule région à ne compter aucun candidat investi ou même soutenu par La République en marche (LREM) aux élections municipales, comme l’a entériné la commission nationale d’investiture (CNI) du parti mercredi dernier.

Sur son site, LREM affiche fièrement les centaines de candidats qu’elle a déjà investis ou qu’elle soutient pour le scrutin des 15 et 22 mars, région par région. Mais aucune trace de la Corse, la seule collectivité parmi les treize que compte le pays qui soit dans ce cas.

« Ils ont peur que ça braque certains candidats »

Selon nos informations, confirmant ce qu’indiquait France 3 dimanche, la décision de se tenir en retrait de la Corse a été prise lors d’une réunion informelle de la CNI à Paris, mercredi dernier. Quatre élus corses affiliés à LREM avaient spécialement fait le déplacement, dont Jean-Charles Orsucci, maire de Bonifacio et qui se représente à son poste. Selon un membre de la CNI, ces élus ont fait part de leur souhait de ne pas être étiqueté LREM, et aucun autre candidat sur l’île n’en a fait la demande. « Ils ont souvent sur leur liste des personnes issues de nombreux courants, dont des nationalistes, et ils ont peur que ça en braque certaines », glisse au Parisien ce responsable, qui souhaite rester anonyme.

« Comme un peu partout, on est un jeune mouvement en train de structurer », minimise de son côté Jean-Charles Orsucci, qui ne « renie pas » pour autant son appartenance à la majorité. L’élu avait d’ailleurs lui-même mené la liste de LREM Andà per Dumane en décembre 2017, lors des élections territoriales en Corse. Mais, cette fois, « la question des investitures ou des soutiens ne se posait pas, car personne n’a fait de demande en ce sens », balaie encore Jean-Charles Orsucci, ce qu’il est donc allé justifier à la commission nationale du parti.

Il est vrai qu’Emmanuel Macron et son parti n’ont jamais réalisé de scores très importants sur l’île. Le chef de l’Etat n’avait obtenu « que » 18,48 % des voix au premier tour de l’élection présidentielle 2017, et il était de très peu en tête au second tour (51,48 % contre 48,52 % pour Marine Le Pen). Mais il avait tout de même suscité un certain intérêt sur place, notamment lors de son meeting de campagne à Furiani, le 7 avril 2017.

Des relations tendues entre l’exécutif et les nationalistes

Mais, depuis, les relations entre l’exécutif et certains élus locaux se sont tendues. Forts de leur succès en décembre 2017, les responsables nationalistes ont notamment revendiqué l’inscription de la Corse dans la constitution ou la reconnaissance officielle de leur langue, ce à quoi le gouvernement n’a pas donné suite. Le 4 avril 2019, ils ont appelé à une journée « île morte » lors de la venue du chef de l’Etat à Cozzano (Corse-du-Sud) pour participer à une réunion du Grand Débat, qu’ils ont d’ailleurs décidé de boycotter. « La venue du président Macron doit être impérativement l’occasion d’annoncer une nouvelle politique de l’État en Corse, en rupture avec l’attitude de déni démocratique adoptée jusqu’à aujourd’hui par Paris », avait asséné le parti Femu a Corsica. Durant l’échange avec d’autres élus, le chef de l’Etat a quant à lui déploré n’avoir pas entendu de « regrets » sur l’assassinat du préfet Erignac.

Quelques semaines plus tard, aux européennes du 26 mai, la liste de la majorité a à peine dépassé les 15 %, loin derrière celle du Rassemblement national (27,73 %). Bref, pour les municipales de mars prochain, « le climat local n’est pas propice à s’afficher avec une étiquette LREM », reprend notre membre de la commission nationale d’investiture.

Malgré ses importants scores obtenus sur l’île, le Rassemblement national n’y a pas non plus investi de candidat aux municipales, faute d’avoir en son sein des cadres locaux. Au scrutin précédent de 2014, un unique candidat RN était en lice à Ajaccio, mais il n’avait obtenu que 8,3 % des voix.

La propagange En Marche : quand la Voix du Nord fait passer des militants macronistes pour des « commerçants excédés »

Alors que le mouvement social contre la réforme des retraites dure depuis plus d’un mois et demi et qu’une large majorité des français sont toujours fermement opposés à cette réforme inacceptable (61% dans les sondages cette semaine). Le gouvernement redouble d’efforts pour tenter de remporter la victoire idéologique nécessaire afin de faire passer leur projet de casse sociale.

Omniprésents cette semaine dans les médias aux ordres de la macronie, ils usent de tous les moyens possibles pour diffuser leurs mensonges, bénéficiant comme toujours de relais enthousiastes dans les principaux groupes de presse qui, en France, appartiennent presque tous à quelques millionnaires favorables à la politique libérale du gouvernement.

Ce 22 janvier 2020, c’était au tour du principal quotidien régional (La voix du nord) de se vautrer comme à son habitude dans la propagande gouvernementale.
Nous étions habitués depuis plusieurs années à voir ce journal relayer constamment les fables policières lors de chaque manifestation, mais cette semaine marquera sans nul doute une belle nouvelle étape dans leur inféodation au pouvoir.


La voix du nord  nous propose donc cet article, en ligne et dans sa version papier :

Peu enclins à parler des violences policières inouïes qui sévissent lors de chaque manifestations depuis le 5 décembre, ils sont beaucoup plus prompts à faire grand bruit lorsqu’il s’agit d’aborder la question des quelques vitrines brisées lors de certaines mobilisations.

Nous avons donc eu droit de lire cette semaine sur plusieurs paragraphes la fatigue de ces pauvres commerçants du centre ville, excédés par les manifestations. Subissant chaque semaine des violences (ceci est évidemment faux). La déontologie journalistique étant de mise, on ne précise dans l’article nul part qu’Ali Douffi, le commerçant situé à gauche sur la photo de l’article est en réalité un fervent militant macroniste. Soutien sans faille de Violette Spillebout, candidate En Marche aux municipales de Lille.

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A gauche Spillebout, candidate En Marche aux élections. A droite Ali Douffi, le fameux commerçant

Ce militant EM est évidemment favorable au projet de réforme des retraites du gouvernement et est opposé radicalement aux manifestations.

Il suffisait de 3 clics et une recherche google pour le savoir, le compte twitter public d’Ali Douffi ne se cache d’ailleurs absolument pas d’être un militant actif de la campagne En Marche pour les municipales.

Ce « travail » de recherche était apparemment trop compliqué pour le journal La voix du nord qui a encore une fois ici préféré être de fidèles serviteurs de la propagande gouvernementale.

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Cette mascarade de journalisme n’a pas été diffusée que sur la voix mais aussi nationalement sur CNEWS, chaîne du groupe Bolloré

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Ali Douffi sur tous les fronts pour soutenir le gouvernement et la police

La semaine dernière c’était Léa Salamé qui invitait un militant en marche, mari d’une candidate sur son plateau le présentant comme un « restaurateur ordinaire ».

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Si vous doutiez encore de l’asservissement des médias à la politique de la bourgeoisie orchestrée par Emmanuel Macron, ce vendredi 24 janvier, journée de grève et de mobilisation, voici un extrait du programme des matinales radio :

Ces invités tous favorables à la réforme des retraites et issus de La république en marche, étaient venus – une fois de plus – occuper le terrain et diffuser leur mensonges sur le projet. Cette réforme est inacceptable et injuste, elle a pour ambition de nous faire travailler plus et de gagner encore moins, elle sera d’autant plus un désastre pour les travailleurs précaires et les femmes.

La casse de notre modèle de retraite par répartition a pour seul projet de favoriser les caisses de retraites par capitalisation, toutes tenues par de grosses entreprises privées issues du monde de la banque et des assurances. Comme pour la privatisation de la française de jeux ou des aéroports de paris, le pouvoir cherche uniquement à faire de nouveaux cadeaux à ses amis ultra riches, aux dépens des millions de travailleurs qui composent ce pays.

La seule solution pour battre Macron est aujourd’hui de se mobiliser, faire grève, descendre dans la rue et s’opposer frontalement à nos ennemis de classe.

Le pouvoir, le patronat, sa police et ses médias nous fait la guerre, mais comme le dit le slogan : « nous on est déter à soulever le pays ». On va gagner !

Source

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