Extraterrestes, et si ils débarquaient en plein Covid-19

Pas une ligne sur les ovnis, comme par hasard…

Pas question de tomber dans les théories conspirationnistes. Mais, tout de même, il y a de quoi se poser des questions.

Le coronavirus tombe à point nommé pour occulter la divulgation prochaine d’un secret que les puissants de la planète connaissent tous : l’existence des extraterrestres. Et, là, force est de constater que les médias mainstream n’en parlent pas.

De plus en plus de phénomènes sont observés depuis quelques semaines !


“Le phénomène ovni échappe à la dimension terrestre” 

Alain Juillet le 11/04/2020

Tout cela est passé sous silence, mais aux quatre coins de la planète les ufologues sont dans les starting-blocks. Ils répètent que l’heure de «la grande divulgation générale» approche. S’ils en sont convaincus, c’est qu’en 2019 le très sérieux «New York Times» a publié des témoignages de pilotes de l’US Navy qui affirment avoir vu des «objets étranges» lors de leurs vols d’entraînement sur la côte est des États-Unis entre l’été 2014 et mars 2015. Des sortes de toupies qui se déplaçaient à des vitesses supersoniques.

Si de tels témoignages commencent à fuiter, c’est que les gouvernements sont en train de préparer l’opinion publique mondiale à une révélation stupéfiante: nous ne sommes pas seuls dans l’univers et les aliens sont peut-être déjà parmi nous. Connue des seuls Illuminati, cette vérité serait sur le point d’être livrée au monde. Les ufologues en sont convaincus.

Qui va enfin oser lâcher le morceau? Donald Trump? Pas sûr. Au grand dam des experts en soucoupes volantes, le président américain a mis publiquement en doute la parole des militaires qui prétendent avoir vu des choses. Curieux, non?

Le démocrate Bernie Sanders, lui, a promis de faire des révélations s’il était élu. Encore faut-il qu’il passe la rampe de la primaire. Et, là, il est plutôt parti pour être satellisé. Comme par hasard… Les présidents américains auraient-ils peur de parler? La communauté des ufologues note que l’ancien président Bill Clinton est moins timoré. S’il ne confie pas de choses précises, il a déclaré: «Si on nous rendait visite un jour je ne serais pas surpris.» Hillary est sur la même ligne. Un aveu. Le couple sait des choses. Quant à Joe Biden, probable rival de Donald Trump en novembre prochain, force est de constater qu’il ne s’épanche pas sur le sujet des ovnis. Pour avoir fait de l’humour et plaisanté sur la supposée présence d’aliens sur Terre, son mentor Barack Obama n’a pas laissé de bons souvenirs aux ufologues.

Depuis que la science admet que l’existence d’autres formes de vie est possible en dehors de la Terre, les experts en petits hommes verts n’acceptent plus d’être raillés. Depuis quelques semaines, ils se raccrochent à l’espoir de voir surgir de nouvelles révélations de ce côté de l’Atlantique. L’armée de l’air britannique vient en effet d’annoncer la publication prochaine de dossiers confidentiels concernant des signalements d’objets volants non identifiés. Ces documents, rédigés par une section de la Royal Air Force (RAF), pourraient bien recouper les témoignages des militaires américains.

Tout le monde retient son souffle.

Source : Par Alain Jourdan 13.03.2020

Dans “Ovnis: une affaire d’Etats”, Dominique Filhol aborde les objets volants non identifiés non comme un folklore mais comme un sujet aussi sérieux que les scientifiques, politiques et experts qui se succèdent dans ce documentaire. Parmi eux, l’ancien directeur des renseignements à la DGSE, Alain Juillet, qui a répondu aux questions de Paris Match le 11 avril 2020 (voir article ci-dessous)

C’est une première : l’ancien directeur des renseignements à la DGSE, Alain Juillet, s’exprime sans tabous sur un sujet qui, pour beaucoup, sent encore le souffre: les objets volants non identifiés. Fort de son immense expérience dans le renseignement, il prône une approche pragmatique et un esprit ouvert pour élucider un mystère trop important pour être laissé aux rêveurs et aux sceptiques dogmatiques.

Alain Juillet est l’un des intervenants de haut niveau, politiques, scientifiques et militaires, qui apportent leur expertise au documentaire de Dominique Filhol, «Ovnis : une affaire d’Etats». «Il y a un terme qui revient de plus en plus souvent parmi les spécialistes du sujet c’est l’idée ‘d’intelligence non humaine’ ce terme est intéressant car il ne rejette pas l’hypothèse extraterrestre mais il englobe bien d’autres théories quant à la nature du phénomène» résume le réalisateur, marqué dès l’enfance par des témoignages spectaculaires de proches qui ont observé des phénomènes inexplicables. 

Un objet volant non identifiée filmé par un pilote de l’US Navy en janvier 2015. DR

Le tournage a encore renforcé ses convictions : «Le phénomène est devenu palpable. J’ai eu la chance de pouvoir filmer une réunion des membres de la commission SIGMA 2 qui étudie les Ovnis de manière rigoureuse et scientifique ou encore de rencontrer le Sénateur Harry Reid à l’origine du programme AATIP de recherche sur les OVNIs du département de la Défense américaine. Toutes ces interviews ont conforté mes intuitions.» 

La succession des témoignages et des analyses dans «Ovnis : une affaire d’Etats» le rappelle : les ovnis existent, au moins comme sujet d’études mais leur nature reste insaisissable : «les hypothèses concernant la nature de ces “objets” ne se limitent pas à une origine extraterrestre.» Mondes parallèles, voyageurs temporels: rien ne peut être écarté d’un revers de manche. «Il y a aussi un courant de l’ufologie qui étudie les liens entre la conscience et le phénomène OVNI et c’est un point qu’on aborde dans le film» poursuit Dominique Filhol.

«Pour de plus en plus de chercheurs, dans les cas de rencontres rapprochées, le phénomène semble interagir avec la conscience des témoins. C’est d’ailleurs ce que certains pilotes de chasse de l’US NAVY ayant observé ces phénomènes ont relaté : ces objets semblaient anticiper les réactions des pilotes, comme s’ils étaient capables de lire dans leur esprit.» 

Comme d’habitude, le sujet ovni nous emmène très loin. Un voyage moins périlleux si l’on est bien accompagné. C’est en tout cas la conviction d’Alain Juillet pour qui politiques et scientifiques doivent maintenant prendre le sujet à bras le corps.

Vous avez accepté de participer au documentaire de Dominique Filhol, «Ovnis: une affaire d’Etats». Est-ce la première fois que vous intervenez publiquement sur le sujet des ovnis ?
Alain Juillet: Oui. J’avais participé à une réunion de passionnés d’aéronautique où avait été évoqué le problème des objets non-identifiés. J’étais dans la salle et j’avais répondu à quelques questions. Mais je n’étais jamais intervenu sur ce sujet publiquement. C’est à la suite d’un entretien avec le réalisateur, Dominique Filhol, que nous avons abordé ce thème. Il m’a posé deux, trois questions et m’a dit : «ça, ça m’intéresse, je suis en train de préparer quelque chose.» C’est comme cela que ça s’est passé.

Aviez-vous un intérêt particulier pour les ovnis ?
Oui, même si je ne suis pas un passionné. En revanche, je suis, à l’origine, un homme du renseignement et lorsque l’on voit des choses inexplicables aujourd’hui, on sait qu’on pourra les expliquer demain. C’est simplement que nous n’avons pas les éléments pour imaginer ou comprendre ce qui se passe. Dans le domaine particulier des ovnis, sans parler des gens qui voient une soucoupe volante se poser dans un champ, il y des pilotes de chasse, des astronautes, des gens qui sont tout sauf des rigolos et rapportent des observations très précises. Il ne faut pas dire que ce sont des bêtises mais juste reconnaître qu’il y a des choses qui nous échappent. C’est dans cadre là que je me suis intéressé à ce problème car la première chose que l’on voit quand on étudie ce phénomène, c’est qu’à l’évidence ces engins ou ces apparitions ne fonctionnent pas selon les lois terrestres et en particulier qu’ils ne sont pas soumis à la gravitation. La question qui se pose est donc: un pays a-t-il mis au point un système qui permet d’échapper à la gravitation ? Il y a 20 ans, j’aurais répondu: «Pourquoi-pas?». Mais, aujourd’hui, si un pays dans le monde avait réalisé une telle découverte, on le saurait. Aucun progrès de cet ampleur ne peut rester secret. C’est impossible.

Si un pays disposait d’une telle technologie, elle aurait donc déjà été utilisée ouvertement…
D’une façon ou d’une autre, il y aurait eu des fuites, une indiscrétion des scientifiques qui travaillent dessus… Puisqu’il n’y a absolument rien eu, c’est que c’est autre chose et que ça échappe à la dimension terrestre. 

Les services de renseignement disposent-ils des outils adéquats pour traiter des sujets aussi élusifs que celui des ovnis, dont on ne connaît pas la nature et dont l’existence même reste sujette à caution ?
Pour que le sujet les intéresse, il faut qu’ils aient reçu un ordre. Afin de de collecter des informations, il faut développer des moyens techniques et humains. Un service de renseignement ne peut travailler sur les ovnis que s’il y a un besoin qui est exprimé par ceux qui dirigent, c’est à dire par les plus hautes autorités de l’Etat. Si ces dernières considèrent qu’il ne s’agit pas d’un problème prioritaire, ce qui est en général le cas, rien ne se passe. On sait que les Américains ont lancé une étude très sérieuse avec un gros budget pour essayer de comprendre. Et il semble bien que d’autres grandes puissances, en particulier la Russie et la Chine, ont fait la même chose, sans doute pour les mêmes raisons : découvrir s’il n’y pas derrière le phénomène ovni quelque chose qui, techniquement parlant, peut être intéressant. Là, je débouche sur un autre aspect que j’évoque dans le film et qui a été expliqué par d’autres beaucoup plus forts que moi en la matière : nous passons d’une vision du monde modelée par la physique traditionnelle à une autre vision fondée sur la physique quantique. Et l’on comprend beaucoup mieux ces phénomènes à travers le prisme de la physique quantique qu’avec celui de la physique actuelle.

Suite …

ARTICLE COMPLET ICI

Royaume-Uni : Des dossiers confidentiels de l’armée sur les ovnis vont être livrés au grand public

L’armée de l’air britannique a annoncé la publication prochaine de dossiers confidentiels concernant des signalements d’objets volants non identifiés (ovnis). Ces documents avaient été rédigés par une section de la Royal Air Force (RAF) dédiée aux objets volants non identifiés, créée en 1950, rapporte The Telegraph.

Ce groupe a cessé son activité en 2009 après avoir conclu qu’aucun de ces signalements ne constituait une menace sérieuse pour le pays. Les dossiers sont en cours de déclassification avant publication. Ils devraient être disponibles dans le courant du premier trimestre 2020. La création d’une page spécifique sur le site Internet du gouvernement britannique est envisagée pour les héberger.

Tous ces signalements d’ovnis par la population étaient conservés au sein des Archives nationales. Ils ont été considérés comme top secret pendant plusieurs années. Depuis 2009 et la fermeture de la section spécialisée de la RAF, les témoignages d’observation d’ovnis sont traités par la police locale.

En France, une structure est aussi dédiée spécifiquement au traitement des signalements d’ovnis par des citoyens, précise Slate. Il s’agit du Geipan, organisation dépendant du Centre national d’ études spatiales (Cnes), qui existe depuis quarante-trois ans.

Source : 20 Minutes – Publié le 08/02/20 

L’US Navy refuse de dévoiler une vidéo d’OVNI classée “Top secret”

C’est une vidéo qui avait beaucoup fait parler. En 2017, le New York Times dévoilait des images filmées par un pilote de la Navy en 2004, sur lesquelles on apercevait un objet volant non identifié (OVNI). Il existerait plusieurs vidéos sur le même type d’incident impliquant des OVNIS. Sauf que la Navy n’a pas l’intention de les dévoiler, explique Business Insider. La marine de guerre américaine avait dû admettre à l’époque qu’un programme d’étude sur les OVNIS existait. Mais des documents liés à celui-ci sont classés comme “top secret » et vont le rester, car leur publication pourrait causer «”des dommages exceptionnellement graves à la sécurité nationale des États-Unis”.

C’est la réponse transmise par la Navy à un chercheur nommé Christian Lambright, qui a déposé une demande d’accès à ces documents dans le cadre du Freedom of Information Act, révèle VICE. Cette loi, remontant à 1966, oblige les agences fédérales à transmettre leurs documents si un citoyen en fait la demande. Cette liberté est toutefois restreinte par différents critères : une possible mise en danger de la sécurité nationale est ainsi une explication suffisante pour empêcher la publication de ces documents. Selon la Navy, au moins une des vidéos de ce dossier est classée « Top secret ». Business Insider précise toutefois que le terme OVNI utilisé ici concerne “des phénomènes aériens non identifiés” ou des “objets volants non identifiés”.

Une enquête en cours

Les autorités ne considèrent donc pas nécessairement qu’il s’agisse d’extraterrestre dans les vidéos en question. Sur plusieurs d’entre elles, on entendrait des pilotes d’avions militaires confus. “Qu’est-ce que cette merde ?” se demande notamment l’un d’entre eux. Interrogé par le New York Times en 2017, un pilote avait expliqué avoir observé un objet volant “accélérer comme il ne l’avait jamais vu” auparavant. Des scientifiques avaient toutefois précisé au média qu’ils étaient sceptiques sur le fait que quoi que ce soit d’extraterrestre apparaisse sur ces vidéos. Susan Gough, porte-parole du Pentagone, a de son côté annoncé cette semaine qu’une enquête “sur les observations [de ces documents, ndlr] était en cours”. Elle n’a toutefois pas précisé si les conclusions de cette enquête seraient rendues publiques.

Source : FRÉDÉRIC SERGEUR  PUBLIÉ LE 17/01/2020

Le Royaume-Uni va déclassifier tous ses rapports sur les OVNI

Marcus Dupont-Besnard 10 février 2020

a British Royal Air Force va rendre publics cinquante ans de rapports sur les ovnis. Mais leur contenu ne fera que confirmer que ces observations n’ont débouché sur rien.

Fox Mulder aurait été ravi. D’après les informations du Telegraph, dans un article du 26 janvier 2020, le Ministère de la Défense du Royaume-Uni s’apprête à déclassifier tous ses rapports dédiés aux UFO, ou en français, les OVNI — objets volants non-identifiés. C’est un porte-parole de la British Royal Air Force qui a transmis cette information au journal.

Le département britannique dédié aux observations d’ovnis a été définitivement fermé en 2009. En cause : cela ne servait finalement à rien. Et effectivement, précisons-le à toutes fins utiles, aucune observation d’objet volant non-identifié n’a jamais donné lieu à la moindre confirmation qu’il s’agissait bien d’objets extraterrestres. Ce n’est d’ailleurs pas ce que cherche fondamentalement un tel département. Ces objets sont souvent expliquables par des illusions d’optique, des phénomènes naturels et des objets volants parfaitement humains comme des avions ou des ballons météo. Rares sont les cas qui s’avèrent réellement non-identifiés et, quand c’est le cas, la cause provient surtout d’images inexploitables.

Les documents qui vont bientôt être publiés ont donc d’autant moins lieu d’être confidentiels qu’ils ne sont pas vraiment des X-Files : ils ne contiennent pas d’informations sensibles. Ce seront essentiellement des témoignages, des descriptions de soi-disant OVNI visualisés dans le ciel et qui ont été rapportés à la Royal Air Force. Comme on peut effectivement le lire dans quelques rapports déjà déclassifiés, les commentaires ne sont pas transcendants : « Six lumières, certaines rouges, d’autres oranges et certaines blanches, pointant dans la même direction », « un objet qui bouge dans le ciel. L’objet a des lumières brillantes » ou bien « Des lumières dans le ciel mais clairement pas un avion. Très bizarre ». La plupart des rapports ont cette même teneur abracadabrantesque.

Les nuages lenticulaires peuvent prêter à confusion et être perçus comme des ovnis.
Source : GFDL / Wikimédia

50 ANS DE RAPPORTS

L’observation du ciel afin de repérer les ovnis et de comprendre ces phénomènes a connu un pic de popularité à compter des années 1950. Les allégations et ouvrages variés sur ce sujet ont alors commencé à abonder, en même temps que les États ont créé des sections dédiées. Cette division de la British Royal Air Force a collecté des rapports d’observation entre 1960 et 2009, ce qui correspond à cinquante ans de données sur ce sujet.

Depuis la fermeture du département en 2009, le ministère a commencé à diffuser quelques rapports par petites touches. La nouvelle déclassification récemment annoncée est censée concerner une mise en ligne complète des rapports produits durant les cinquante ans d’existence du département. Le porte-parole de la Royal Air Force précise au Telegraph qu’il «  avait été estimé qu’il serait préférable de publier ces documents, plutôt que de continuer à les envoyer aux Archives nationales ». Tout sera donc bientôt uploadé via la base de donnée des Archives nationales et mis en ligne via un site dédié en gov.uk.

Tous les documents sont actuellement passés au crible d’un processus d’approbation. Leur diffusion est prévue pour le premier quart de 2020. Cette démarche provient d’une transparence voulue par un changement dans la loi britannique au niveau du Freedom of Information Act. Pour rappel, en France, le Centre national des études spatiales a lui aussi un segment dédié à l’étude des ovnis : le Geipan. Il existe toujours, et ce depuis 1977.

Donald Trump croit-il à l’existence des ovnis ?

Laure-Hélène de Vriendt et AFP PUBLIÉ LE 20/12/2017

Le “New York Times” a révélé l’existence d’un programme du Pentagone dédié aux ovnis entre 2007 et 2012. Donald Trump croit-il en leur existence? Sa porte-parole Sarah Sanders n’a pas la réponse. Interrogée sur le sujet lors de son point presse mardi 19 décembre, elle a répondu, amusée : “Cette question n’a pas été soulevée lors de nos échanges ces derniers jours”, avant de préciser “Je vérifierai et vous tiendrai au courant”. 

Cette question intervient quelques jours seulement après les révélations du New York Times de l’existence d’un programme du Pentagone chargé d’enquêter sur les objets volants non identifiés. Entre 2007 et 2012, ce “Programme d’identification des menaces aérospatiales avancées” a, selon le quotidien américain, documenté d’étranges objets volants, évoluant à grande vitesse sans propulsion visible ou en position stationnaire, sans moyen apparent de portance. 

Le Pentagone a précisé que ce programme, connu d’un petit nombre de responsables seulement, s’était achevé en 2012 pour permettre de se consacrer à “d’autres priorités qui méritaient un financement”. Le New York Times, lui, affirme que les recherches sont toujours d’actualité. 

Le triangle de la burle, mythe ou vraie malédiction ?

Plusieurs dizaines d’accidents d’avion ont eu lieu entre l’est de la Haute-Loire et l’ouest de l’Ardèche depuis 1943. Et aussi quelques observations d’ovnis…

Publié le 03/04/2020

https://www.leveil.fr/puy-en-velay-43000/actualites/le-triangle-de-la-burle-mythe-ou-vraie-malediction-1-2_13773349/#refresh

Un mystérieux ovni aperçu dans le ciel de Cahors, des témoins racontent

https://www.ladepeche.fr/2020/04/15/un-mysterieux-ovni-apercu-dans-le-ciel-de-cahors-des-temoins-racontent,8848342.php

16 avr. 2020