Climat, Réchauffement ou Refroidissement Global

Et si les écolos avaient tout faux !?!

La science climatique officielle dénie au soleil toute influence sur le climat : en effet les variations de l’irradiance solaire seraient insuffisantes pour expliquer celles de la température qui ne peuvent être expliquées que par l’augmentation la concentration du COdans l’atmosphère.

Mais l’observation (et le bon sens) suggèrent que les variations de température sont un phénomène multi causal. Rattacher le réchauffement à une cause unique (le CO2) en ignorant systématiquement l’évolution du soleil, (mais aussi des nuages, des océans, des rayons cosmiques, etc.) est réducteur. Des scientifiques travaillent d’ailleurs sur l’influence des cycles solaires sur le climat. Nous faisions récemment état sur ce site d’une publication de La Royal Astronomical Society (juillet 2015) selon laquelle le 26 e cycle du soleil (2030-2040) marquera une réduction de l’activité solaire de 60% réunissant ainsi les conditions d’un nouveau “minimum de Maunder” (1645-1715).

Un physicien : Le grand minimum solaire à venir pourrait anéantir le réchauffement climatique pendant des décennies.

La plupart des gens, à l’exception de ceux qui s’intéressent à la science solaire, ignorent que le soleil est sur le point de s’éteindre. Enfin, pas complètement – nous aurons encore beaucoup de lumière et de chaleur, mais les petites taches sombres à la surface du soleil, appelées taches solaires, visibles sur la figure ci-dessous, sont sur le point de disparaître. Selon certains climatologues, cela annonce une période froide prolongée de 35 ans à partir de 2020, malgré le réchauffement climatique. Comment cela pourrait-il se produire ? Parce que les taches solaires, qui sont causées par des turbulences magnétiques à l’intérieur du soleil, signalent des changements subtils dans la production ou l’activité solaire – des changements qui peuvent avoir un effet significatif sur le climat de la terre. Avec la chaleur et la lumière du soleil, le nombre mensuel ou annuel de taches solaires augmente et diminue au cours du cycle solaire d’environ 11 ans. Depuis plusieurs décennies, le nombre maximal de taches solaires observé au cours d’un cycle est en baisse. La dernière fois que les taches solaires ont complètement disparu, c’était pendant le « minimum de Maunder », une période froide de 70 ans aux 17e et 18e siècles, qui faisait partie du petit âge glaciaire, et qui est illustrée dans la figure suivante montrant le nombre de taches solaires au fil du temps. Le minimum de Maunder, qui s’est déroulé de 1645 à 1710 environ, était l’occurrence la plus récente de ce que l’on appelle les grands minima solaires, ou périodes de très faible activité solaire, qui se reproduisent tous les 350 à 400 ans. Nous devons donc nous attendre à un autre minimum.

Valentina Zharkova, de l’université Northumbria, qui a publié plusieurs articles sur les taches solaires et les grands minima solaires, a établi un lien entre les minima et une chute radicale du champ magnétique interne du soleil. La baisse d’environ 70 % du champ magnétique par rapport à sa valeur moyenne fait partie d’un cycle de 350 à 400 ans résultant de variations régulières du comportement du plasma très chaud qui alimente notre soleil. Entre les grands minima solaires se trouvent les grands maxima solaires, lorsque le champ magnétique et le nombre de taches solaires atteignent leurs valeurs les plus élevées. Le grand maximum solaire le plus récent (« moderne »), bien que légèrement asymétrique, est représenté par les pics bleus dans la figure ci-dessus. La figure ci-dessous montre la magnitude du champ magnétique calculée par Zharkova de 1975 à 2040, que l’on voit diminuer à l’approche du minimum. Selon ses calculs, le grand minimum solaire à venir durera de 2020 à 2053, avec une baisse des températures mondiales pouvant atteindre 1,0 degré Celsius (1,8 degré Fahrenheit) à la fin des années 2030. C’est autant que le monde s’est réchauffé depuis l’ère préindustrielle, et seulement 0,4 degré Celsius (0,7 degré Fahrenheit) au-dessus des températures glaciales enregistrées en 1710 à la fin du minimum de Maunder. Le minimum de Maunder a été incontestablement froid : les glaciers alpins d’Europe ont empiété sur les terres agricoles, les canaux des Pays-Bas ont gelé chaque hiver et les foires au gel sur la Tamise gelée du Royaume-Uni sont devenues monnaie courante. Les chercheurs en sciences solaires ont calculé que la chaleur et la lumière émises par le soleil, une quantité connue sous le nom d’irradiance solaire totale, ont diminué de 0,22 % pendant le minimum de Maunder, ce qui représente environ quatre fois son augmentation ou sa diminution normale sur un cycle de 11 ans.

D’autres chercheurs ont également prédit un grand minimum solaire imminent, mais pour des raisons différentes. L’une des premières prédictions a été faite par l’astronome et chercheur allemand Theodor Landscheidt, en 2003. Landscheidt a prédit une période froide prolongée centrée sur l’année 2030, sur la base de ses observations d’un cycle solaire de 87 ans connu sous le nom de cycle de Gleissberg, qui a été lié à des fluctuations climatiques régionales telles que les inondations du Nil en Afrique. Une prédiction plus récente, basée sur un cycle solaire plus long de 210 ans, est celle de l’astrophysicien russe Habibullo Abdussamatov. Il prévoit une période de refroidissement global plus longue que celle de Zharkova ou Landscheidt, pouvant durer jusqu’à 65 ans, l’intervalle le plus froid se situant autour de 2043. Tous les spécialistes de l’énergie solaire ne sont pas d’accord avec ces prédictions. Bien que la NOAA (la National Oceanic and Atmospheric Administration des États-Unis) ait reconnu que le nombre de taches solaires est en baisse et pourrait approcher de zéro dans les années 2030, le comité international de prévision du cycle solaire 25 prévoit que le nombre de taches solaires restera le même dans le prochain cycle de 11 ans (cycle 25) que dans le cycle qui vient de s’achever (cycle 24). Déclarant que le récent déclin du nombre de taches solaires est terminé, la coprésidente du panel et physicienne solaire Lisa Upton déclare : « Rien n’indique que nous approchons d’un minimum d’activité solaire de type Maunder ».

Mais si les prédictions de Zharkova et d’autres sont correctes, des temps difficiles nous attendent. Une baisse relativement soudaine de la température de 1,0 degré Celsius (1,8 degré Fahrenheit) aurait des effets radicaux sur l’agriculture, provoquant des mauvaises récoltes et une famine généralisée, comme cela s’est produit lors du minimum de Maunder. Et le besoin de chauffage supplémentaire dans les deux hémisphères surviendrait à un moment où il est probable qu’une grande partie de notre capacité de chauffage, fournie en grande partie par les combustibles fossiles, aura été éliminée au nom de la lutte contre le changement climatique.

https://www.climatedepot.com/2020/10/05/physicist-upcoming-grand-solar-minimum-could-wipe-out-global-warming-for-decades/

Le Soleil émet sans cesse des radiations. Et de temps à autre se produit une éruption solaire…

Notre soleil s’est « confiné », ce qui pourrait provoquer un temps glacial, des tremblements de terre et la famine, selon les scientifiques. L’apocalypse annoncée dans un futur proche par les alarmistes du réchauffement climatique aura peut-être bien lieu dans les prochaines décennies, mais peut-être bien dans un mini âge glaciaire.

Vers un nouveau minimum de Maunder

Une récente publication de La Royal Astronomical Society (juillet 2015) prévoit une réduction de l’activité solaire de 60% lors du 26ème cycle du soleil (2030-2040). Selon cette étude, les conditions d’un nouveau “minimum de Maunder” (1645-1715) seraient réunies

Un nouveau minimum de Maunder pourrait provoquer un refroidissement global

La science climatique officielle dénie au soleil toute influence sur le climat : en effet les variations de l’irradiance solaire seraient insuffisantes pour expliquer celles de la température qui ne peuvent être expliquées que par l’augmentation la concentration du CO2 dans l’atmosphère. Mais l’observation (et le bon sens) suggèrent que les variations de température sont un phénomène multi causal. Rattacher le réchauffement à une cause unique (le CO2) en ignorant systématiquement l’évolution du soleil, (mais aussi des nuages, des océans, des rayons cosmiques, etc.) est réducteur. Des scientifiques travaillent d’ailleurs sur l’influence des cycles solaires sur le climat. Nous faisions récemment état sur ce site d’une publication de La Royal Astronomical Society (juillet 2015) selon laquelle le 26 e cycle du soleil (2030-2040) marquera une réduction de l’activité solaire de 60% réunissant ainsi les conditions d’un nouveau “minimum de Maunder” (1645-1715). Un article récemment publié sur le site Wattsupwiththat fait le point sur cette question. Nous en fournissons ci-dessous une traduction.

Observations quotidiennes du nombre de taches solaires depuis le 1er janvier 1900 selon le Centre d’analyse de l’influence des données solaire (SIDC). La fine ligne bleue indique le nombre quotidien de taches solaires, tandis que la ligne bleue foncée indique la moyenne annuelle courante. La récente faible activité des taches solaires se manifeste clairement par les faibles valeurs récentes de l’irradiance solaire totale. (Source de données: WDC-SILSO, Observatoire royal de Belgique, Bruxelles. Dernier jour affiché: 28 février 2018. Dernière mise à jour du schéma: 1er mars 2018 – Crédit climate4you.com)

Supposons que nous entrions dans un nouveau grand minimum de Maunder, cela signifierait une période de refroidissement global…cela aurait de lourdes conséquences sur l’économie, provoquant de mauvaises récoltes et une augmentation de la consommation d’énergie pour le chauffage…après une période où l’offre des denrées agricoles comme celle de l’énergie a été abondante, ce changement sera probablement un choc pour de nombreuses populations et pour l’économie mondiale dans son ensemble.

https://www.climato-realistes.fr/minimum-de-maunder-refroidissement-global/

Publié le 18 AOÛT 2019

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