Nous n’avons pas fait de publication jusqu’ici, sur cette « nouvelle » maladie, mais nous la suivons depuis plusieurs mois. Il s’agit de la maladie de Monkeypox, aussi appelée Variole du singe.
✓ Qu’est-ce que la variole du singe ?
✓ La variole du singe est-elle contagieuse ?
✓ Quelle est l’histoire du monkeypox ?
✓ Qu’est-ce qui cause la variole du singe ? Comment le monkeypox se propage-t-il?
✓ Quels sont les facteurs de risque du monkeypox ?
✓ Quels sont les symptômes et les signes du monkeypox ?
✓ Quelle est la période d’incubation du monkeypox ?
✓ Quelle est la durée de contagion du monkeypox ?
✓ Comment les professionnels de la santé diagnostiquent-ils le monkeypox ?
Sur Telegram nous avons à partir du 18 mai publié ceci :
‼️Le 27/07/2021, sur le site de l’OMS, on apprenait que :
Le 17/07/2021, le Point Focal National RSI des USA a notifié à l’OPS/OMS un cas importé de monkeypox humain à Dallas, Texas.
https://www.who.int/emergencies/disease-outbreak-news/item/monkeypox—the-united-states-of-america
‼️Le 25/11/2021, l’OMS publiait :
Le 16/11/2021, le Point Focal National RSI des USA a notifié à l’OPS/OMS un cas importé de monkeypox humain dans le Maryland. Le patient est un adulte, résident des Etats-Unis, ayant récemment voyagé au Nigeria.
https://www.who.int/emergencies/disease-outbreak-news/item/2021-DON344
‼️Toujours sur le site de l’OMS, on apprend que 15 pays sur 4 continents ont signalé des cas confirmés de variole du singe chez l’homme de 1970 à 2021
https://www.who.int/health-topics/monkeypox#tab=tab_1
‼️Le 07/05/2022, l’Agence britannique de sécurité sanitaire (UKHSA) peut confirmer qu’une personne a reçu un diagnostic de monkeypox en Angleterre.
https://www.gov.uk/government/news/monkeypox-case-confirmed-in-england-1
‼️Le 14/05/2022, 2 nouvelles personnes ont été diagnostiquées avec la variole du singe en Angleterre, a déclaré l’Agence britannique de sécurité sanitaire.
https://www.bbc.com/news/uk-england-london-61449214
‼️Et aujourd’hui, après le Royaume-Uni, l’Espagne et le Portugal ont annoncé à leur tour avoir recensé une trentaine de cas suspects ou confirmés de variole du singe, une maladie extrêmement rare en Europe. Les symptômes recouvrent notamment fièvre, mal de tête, douleurs musculaires, mal de dos, ganglions lymphatiques enflés, frissons et fatigue. Des éruptions cutanées peuvent survenir, souvent sur le visage, et se répandre à d’autres parties du corps.
« La variole du singe ou la variole simienne est une maladie infectieuse virale rare due au virus Monkeypox transmise essentiellement par des rongeurs à l’homme, puis de personne à personne par gouttelette ou contact rapproché. Les symptômes sont comparables à ceux de la variole mais la maladie est moins sévère. » www.santepubliquefrance.fr/
Variole du singe : au moins 13 cas en cours d’examen à Montréal
📌 Les Etats-Unis confirment ce soir le premier cas américain de variole du singe dans le Massachusetts. « Aucun risque pour le grand public selon les autorités sanitaires. » Depuis quelques jours, les cas de variole du singe se multiplient en Europe.
https://www.mass.gov/news/massachusetts-public-health-officials-confirm-case-of-monkeypox
‼️‼️Rappel concernant le Monkeypox : https://t.me/FrenchWhistleblowers/5869
‼️‼️Précisions :
Période d’incubation : 6 à 16 jours mais peut aller de 5 à 21 jours
📌 Taux de létalité : le taux de létalité lors des flambées d’orthopoxvirose simienne s’est établi entre 1% et 10%, la plupart des décès survenant chez les plus jeunes.
https://www.who.int/fr/news-room/fact-sheets/detail/monkeypox
Comme le Monkeypox est le « sujet du jour », une mise au point semble nécessaire en allant chercher des informations dans des études datant de plusieurs années
Comme celle-ci datant du 02/02/2007 :
👉 Le monkeypox humain : une zoonose émergente
Le virus zoonotique du monkeypox se maintient chez un grand nombre d’espèces de rongeurs et, dans une moindre mesure, de primates non humains en Afrique occidentale et centrale. Bien que le virus de la variole du singe ait été découvert en 1958, les prototypes de cas humains n’ont été observés qu’au début des années 1970. Avant cette période, on suppose que les infections étaient masquées par la variole, qui était alors largement endémique. Néanmoins, depuis les années 1970, les cas d’infection humaine par le virus de la variole du singe se sont multipliés, de même que les épidémies avec transmission interhumaine signalée. Cette augmentation est probablement due à de nombreux facteurs, tels que le renforcement des efforts de surveillance, la dégradation de l’environnement et l’urbanisation des zones où le virus de la variole du singe est maintenu dans son ou ses réservoirs animaux et, par conséquent, sert de nid à l’infection humaine. En outre, les prédispositions génétiques virales permettent au virus de la variole du singe d’infecter de nombreuses espèces animales, représentées dans des aires géographiques étendues. Le virus de la variole du singe était autrefois limité à certaines régions d’Afrique, mais il s’est étendu, dans un cas à l’échelle intercontinentale, ce qui laisse penser que les infections humaines par le virus de la variole du singe pourraient continuer à s’intensifier. En tant qu’agent zoonotique, le virus de la variole du singe est beaucoup moins sensible aux mesures d’éradication habituelles puisqu’il se maintient dans les populations d’animaux sauvages. De plus, la vaccination humaine devient une option moins viable pour contrôler les infections à poxvirus dans une population de plus en plus immunodéprimée, notamment avec l’émergence du VIH en Afrique subsaharienne. Une fréquence accrue des infections humaines par le virus de la variole du singe, en particulier chez les personnes immunodéprimées, pourrait permettre au virus de la variole du singe d’évoluer et de se maintenir de manière indépendante dans les populations humaines.
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/17661673/
Article du Vidal le 26/10/2021
👉 2 épidémies de monkeypox qui avaient fait l’objet de nouvelles sur le site mesvaccins.net sont toujours en cours en Afrique ( n°17809 du 09/08/2021 et n°17963 du 03/09/2021)
En République Démocratique du Congo (RDC), le Bureau Afrique de l’OMS précise que depuis la S1 jusqu’à la S39 de 2021, 2 703 cas de monkeypox ont été rapportés avec 71 décès. En 2020, entre la S1 et la S53, un total de 6 257 cas suspects dont 229 décès ont été rapportés dans 17 des 26 provinces du pays. Au cours de la même période en 2019, 5 288 cas suspects et 107 décès ont été signalés dans 18 provinces. Les US Centers for Disease Control and Prevention (CDC) ont émis une alerte aux voyageurs le 30/09/2021, concernant cette épidémie.
Au Nigeria, selon le Centre nigérian de contrôle des maladies, en septembre 2021, aucun nouveau cas suspect de variole du singe n’a été signalé. Par conséquent, en 2021, le total reste à 79 cas suspects signalés depuis le début de l’année. Parmi les cas suspects, 23 ont été confirmés dans huit états et aucun décès n’a été enregistré.
Rappelons que cette épidémie a été à l’origine de cas de monkeypox importés au Royaume Uni et aux Etats-Unis (n°17698 du 18/07/2021 et n°17518 du 14/06/2021). Suite aux cas d’importation en Angleterre, les autorités sanitaires britanniques ont recommandé la vaccination des professionnels de santé exposés par IMVANEX, un vaccin antivariolique (virus vivant modifié de la vaccine Ankara) autorisé dans l’Union Européenne. Ce vaccin, sous le nom de JYNNEOS a été approuvé aux Etats-Unis par la FDA pour la prévention de la variole et du monkeypox chez l’adulte à partir de 18 ans.
Le Monkeypox est une maladie largement auto-limitante, c’est-à-dire une maladie qui se résout elle-même.
Les singes ne sont pas les réservoirs du virus. Les principaux réservoirs suspects sont des rongeurs, comme les écureuils, et des rongeurs terrestres.
L’infection résulte d’un contact direct avec le sang, les fluides corporels, ou des éruptions cutanées d’animaux infectés (manipulation de macaques infectés, ou de rongeurs).
‼️‼️Donc alerte le 30/09/2021 par le CDC des USA
Sachant que la FDA avait approuvé en septembre 2019, le vaccin danois JYNNEOS
📌 https://www.fda.gov/news-events/press-announcements/fda-approves-first-live-non-replicating-vaccine-prevent-smallpox-and-monkeypox
📌 https://www.fda.gov/vaccines-blood-biologics/jynneos
‼️Le labo BAVARIAN NORDIC , produisant le JYNNEOS, produit également le vaccin IMVANEX
Qui a publié aujourd’hui un communiqué de presse indiquant :
« Bavarian Nordic A/S a annoncé aujourd’hui que la société a obtenu un contrat avec un pays européen non divulgué pour fournir son vaccin antivariolique IMVANEX® en réponse aux nouveaux cas de monkeypox évoluant en mai 2022 »
https://www.bavarian-nordic.com/investor/news/news.aspx?news=6574
‼️‼️ L’EMA a délivré une AMM conditionnelles pour l’ IMVANEX en 2019
https://www.ema.europa.eu/en/documents/overview/imvanex-epar-medicine-overview_fr.pdf
« Imvanex ayant été autorisé dans des circonstances exceptionnelles, la société qui commercialise Imvanex fournira des données supplémentaires provenant d’études sur les modifications des taux d’anticorps observées chez les personnes vaccinées. Des données supplémentaires sur les avantages et les risques du vaccin seront rassemblées dans le cadre d’études d’observation chez des patients vaccinés et dans le cas où une épidémie de variole se déclarerait à l’avenir. »
https://fr.energymedresearch.com/72791-imvanex-smallpox-vaccine
Sur Telegram le 20 mai nous avons publié ceci :
⚠️ Le plus « étonnant » , question « coïncidence », ce sont les dates figurant dans le scénario de pandémie Monkeypox https://t.me/FrenchWhistleblowers/5880
📌 Dans le scénario de cette simulation, l’épidémie initiale avait été causée par une attaque terroriste ayant eu lieu le 15/05/2022
https://t.me/FrenchWhistleblowers/5881
Contre le Monkeypox (variole du singe) , le vaccin contre la variole (smallpox) est efficace.
Et que découvre t-on ?
‼️ SIGA Technologies, Inc. est une société pharmaceutique publique au stade commercial qui se concentre sur la fourniture de solutions aux besoins non satisfaits sur le marché de la sécurité sanitaire qui comprend des contre-mesures médicales contre les menaces chimiques, biologiques, radiologiques et nucléaires , ainsi que les maladies infectieuses émergentes. . La société a son siège social à New York et des installations de recherche et développement à Corvallis, dans l’Oregon
En juillet 2018, la FDA a approuvé le premier produit de SIGA, le TPOXX® oral (tecovirimat), pour le traitement de la variole. En janvier 2022, le tecovirimat oral a également reçu l’approbation de l’Agence européenne du médicament (EMA) indiquant son utilisation pour le traitement des complications de la variole, du monkeypox, du cowpox et de la vaccine après la vaccination contre la variole.
NB : dès le début de la page ci-dessus de SIGA, on peut lire :
« … la prochaine épidémie pourrait provenir de l’écran d’ordinateur d’un terroriste ayant l’intention d’utiliser le génie génétique pour créer une version synthétique du virus de la variole…» – BILL GATES
‼️ SIGA est une société cotée en bourse depuis 1997 (SIGA).
‼️ SIGA Technologies, Inc. a annoncé le 12/05/2022, que le département américain de la Défense (DoD) a attribué un contrat à SIGA pour l’achat d’environ 7,5 millions $ de TPOXX oral, dont environ 3,6 millions $ de TPOXX oral devraient être livrés en 2022 et le reste est soumis à une option à la seule discrétion du DoD
SIGA a collaboré avec le Bureau exécutif du programme conjoint du DoD pour la défense chimique, biologique, radiologique et nucléaire pour développer l’indication de prophylaxie post-exposition (PEP) pour TPOXX, et ce travail est soutenu par un contrat de développement distinct d’une valeur d’environ 26 millions $. En conséquence, le DoD a rédigé un protocole d’accès étendu (EAP)1 pour TPOXX, qui peut être utilisé à des fins de PEP chez certains membres du personnel affilié au DoD jusqu’à ce que la FDA approuve TPOXX pour la PEP
‼️ SIGA Technologies, Inc., le 19/05/2022, a annoncé que la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis avait approuvé la formulation intraveineuse (IV) de TPOXX pour le traitement de la variole. La formulation IV est une option importante pour ceux qui sont incapables d’avaler les gélules orales de TPOXX.
« Nous sommes reconnaissants à la FDA pour son travail qui a conduit à l’approbation de IV TPOXX, qui permettra d’accéder à une population de patients plus large », a déclaré le Dr Dennis Hruby, CSO de SIGA. « Nous sommes également reconnaissants à nos collègues de BARDA qui travaillent avec nous depuis de nombreuses années pour inclure le TPOXX oral et IV dans les efforts de préparation aux États-Unis et nous sommes impatients de continuer à travailler avec eux sur notre formulation pédiatrique liquide. »
…. 🤔 Coïncidence ? …. Ou pas ?
En mars 2021, a eu lieu une simulation d’épidémie de Monkeypox, dont le scénario était « épidémie causée par une attaque terroriste utilisant un agent pathogène conçu en laboratoire, l’attaque ayant eu lieu le 15/05/2022 »
Et que lit-on le 20/05/2022 :
‼️ Alors que de plus en plus de cas de monkeypox sont détectés en Europe et en Amérique du Nord, certains scientifiques qui ont surveillé de nombreuses épidémies en Afrique se disent déconcertés par la propagation inhabituelle de la maladie dans les pays développés.
Des cas de la maladie liée à la variole n’ont jamais été observés chez des personnes n’ayant aucun lien avec l’Afrique centrale et occidentale.
Au cours de la semaine dernière, le Royaume-Uni, l’Espagne, le Portugal, l’Italie, les États-Unis, la Suède et le Canada ont tous signalé des infections, principalement chez des jeunes hommes qui n’avaient jamais voyagé en Afrique auparavant.
« Je suis stupéfait par cela », a déclaré Oyewale Tomori, un virologue qui dirigeait auparavant l’Académie nigériane des sciences et qui siège à plusieurs conseils consultatifs de l’OMS.
« Chaque jour, je me réveille et il y a plus de pays infectés », a déclaré Tomori.
« Ce n’est pas le genre de propagation que nous avons vu en Afrique de l’Ouest, donc il se peut qu’il se passe quelque chose de nouveau en Occident », a-t-il déclaré.
L’une des théories que les responsables de la santé britanniques explorent est de savoir si la maladie est transmise sexuellement. Les responsables de la santé ont demandé aux médecins et aux infirmières d’être en alerte pour les cas potentiels, mais ont déclaré que le risque pour la population générale était faible.
Les épidémies au Nigeria, qui signale environ 3 000 cas de monkeypox par an, se produisent généralement dans les zones rurales, où les gens sont en contact étroit avec des rats et des écureuils infectés, selon Tomori. Il a déclaré que la maladie ne se propage pas très facilement et que de nombreux cas sont probablement manqués.
Vendredi, l’Agence de sécurité sanitaire du Royaume-Uni a signalé 11 nouveaux cas de monkeypox, affirmant qu' »une proportion notable » des infections les plus récentes au Royaume-Uni et en Europe concernaient de jeunes hommes sans antécédents de voyage en Afrique qui étaient homosexuels, bisexuels ou eu des relations sexuelles avec des hommes. Les autorités espagnoles et portugaises ont également déclaré que leurs cas concernaient de jeunes hommes qui avaient pour la plupart des rapports sexuels avec d’autres hommes et ont déclaré que ces cas avaient été détectés lorsque les hommes se sont présentés avec des lésions dans les cliniques de santé sexuelle.
Les experts ont souligné qu’ils ne savent pas si la maladie se propage par le sexe ou par d’autres contacts étroits liés au sexe.
« Ce n’est pas quelque chose que nous avons vu au Nigeria », a déclaré le virologue Tomori
21/05/2022 – Post tg du Dc Doug Corrigan
Une analyse de la région codante obtenue à partir du séquençage du virus actuel de la variole du singe montre qu’elle est identique à la souche de la variole du singe qui est sortie du Nigeria en 2018 et s’est propagée au Royaume-Uni et dans certains autres pays. Pourquoi se propage-t-elle soudainement ?
Il y a deux options que je peux voir compte tenu des informations actuelles. La première est une modification de la virulence/infectiosité du virus due à des changements dans les régions non codantes du virus. Ce n’est pas impossible, mais peu probable.
La deuxième option implique une suppression récente, généralisée et synchronisée au niveau mondial de la fonction du système immunitaire.
https://virological.org/t/belgian-case-of-monkeypox-virus-linked-to-outbreak-in-portugal/801
https://t.me/ScienceWithDrDoug/188
‼️Nous avons publié des articles du Dc Doug Corrigan sur la vaccination contre le Covid19, articles rédigés avant que la campagne de vaccination ne commence, ainsi que des thread sur son compte twitter
📌Articles qu’il a publié :
➖le 01/08/2020 : « Le vaccin contre la Coronavirus est-il une bombe à retardement ? »
➖et le 27/11/2020 : « Un vaccin à ARN modifiera-t-il mon ADN de façon permanente ? Et s’il le modifie, quels sont les effets potentiels à long terme sur la santé ? »
https://t.me/FrenchWhistleblowers/3654
📌Thread twitter :
➖ du 24/11/2021, concernant la protéine Spike et un effet possible sur la fertilité :
https://t.me/FrenchWhistleblowers/4026
➖ du 29/11/2021, sur les effets secondaires potentiels de la vaccination
https://t.me/FrenchWhistleblowers/4065
On prend les mêmes et on recommence ?
‼️‼️ Le laboratoire de WUHAN a fait des expériences avec le MONKEYPOX l’année dernière
Rapport de recherche publié dans International Journal en février 2022.
👉 Assemblage efficace d’un grand fragment du génome du virus monkeypox en tant que modèle qPCR à l’aide d’une recombinaison associée à la transformation basée sur la double sélection
La recombinaison associée à la transformation (TAR) a été largement utilisée pour assembler de grandes constructions d’ADN. L’un des obstacles importants entravant l’efficacité de l’assemblage est la présence de voies de réparation de l’ADN sujettes aux erreurs dans la levure, ce qui entraîne une recircularisation du squelette du vecteur ou des produits de recombinaison illégitimes. Pour augmenter l’efficacité de l’assemblage de TAR, nous avons préparé un vecteur TAR à double sélectivité, pGFCS, en ajoutant une cassette PADH1-URA3 à un vecteur navette levure-bactérie précédemment décrit, pGF, hébergeant une cassette PHIS3 – HIS3 comme marqueur de sélection positif. Cette nouvelle cassette fonctionne comme un marqueur de sélection négative pour s’assurer que la levure hébergeant un vecteur recircularisé ne peut pas se propager en présence d’acide 5-fluoroorotique. Pour empêcher pGFCS portant ura3 de se recombiner avec ura3-52 endogène dans le génome de la levure, une souche de Saccharomyces cerevisiae hautement transformable, VL6-48B, a été préparée par substitution chromosomique de ura3-52 avec un transgène conférant une résistance à la blasticidine. Un fragment génomique de 55 kb du virus monkeypox englobant les cibles de détection primaires pour la PCR quantitative a été assemblé par TAR en utilisant pGFCS dans VL6-48B. L’assemblage de TAR médié par pGFCS a montré un taux nul de recircularisation du vecteur et un rendement d’assemblage correct moyen de 79 %, indiquant que la stratégie de double sélection fournit une approche efficace pour optimiser l’assemblage de TAR.
https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S1995820X22000414
Adenovirus & Monkeypox, pas de lien !
– le Monkeypox est un poxvirus qui n’a rien à voir avec un adenovirus
– le monkeypox doit son nom au fait que le singe est un animal hôte
– les pays où il y a les cas de Monkeypox utilisent en majorité les vaccins à ARNm et non pas à adenovirus
– il y a plusieurs vaccins qui utilisent des adenovirus, mais apparemment il n’y a que l’astrazeneca qui utilise l’adenovirus de chimpanzé
Car si on suit cette « logique » (adenovirus de chimpanzé/Monkeypox) qui circule, il y aurait des cas de Monkeypox uniquement dans les pays utilisant l’astrazeneca
Hors, ce n’est pas le cas
Par contre, les vaccins à ARNm affaiblissent le système immunitaire, donc pour faire simple « la moindre saloperie qui traine sera pour les vaccinés à ARNm »
Et, il y a ces 2 études :
📌 Le MPXV (monkeypox) n’est pas pathogène dans la plupart des cas, à moins que la signalisation IFN (interféron) ne soit inhibée.
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4580173/
📌 Suppression immunitaire innée par les vaccinations par ARNm du SRAS-CoV-2
« … nous présentons des preuves que la vaccination Covid induit une altération profonde de la signalisation de l’interféron (IFN) de type I, qui a diverses conséquences néfastes pour la santé humaine. »
« Les vaccins à ARNm entraînent potentiellement un risque accru de maladies infectieuses et de cancer. »
https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S027869152200206X
La folie vaccinale pour le Monkeypox s’installe en France
Arrêté du 25 mai 2022 autorisant l’utilisation de vaccins dans le cadre de la prise en charge des personnes contacts à risque d’une personne contaminée par le virus Monkeypox
https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000045830824
Dans lequel, il est écrit :
📌 Article 1 :
A titre dérogatoire, peuvent être autorisés dans le traitement prophylactique contre la variole du singe des personnes contacts à risque d’une personne atteinte de l’infection ou des professionnels de santé en milieu de soins exposés au virus Monkeypox :
– le vaccin IMVANEX® ;
– le vaccin JYNNEOS®.
📌 Article 3 :
L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé est chargée, pour les vaccins mentionnés à l’article 1er :
– de délivrer les autorisations d’importation et, le cas échéant, d’exportation ;
– d’élaborer et de mettre en place un protocole d’utilisation du vaccin ;
– d’établir une information relative à ces médicaments à l’attention des professionnels de santé et des patients ;
– du recueil des données d’efficacité et de sécurité et du suivi de pharmacovigilance renforcé
‼️‼️ Comme nous l’avions déjà publié :
✓ L’IMVANEX détient une « AMM dans des « circonstances exceptionnelles »» depuis 2019, car « il n’a pas été possible d’obtenir des informations complètes en raison de la rareté de la maladie »
https://www.ema.europa.eu/en/documents/overview/imvanex-epar-medicine-overview_fr.pdf
✓ Le JYNNEOS a été approuvé en septembre 2019 par la FDA
✓ JYNNEOS et IMVANEX sont produits par le labo danois BAVARIAN NORDIC
https://t.me/FrenchWhistleblowers/5876
https://t.me/FrenchWhistleblowers/5877
‼️‼️ Une nouvelle étude grandeur nature se prépare
https://t.me/FrenchWhistleblowers/5927
Le NHS vient de modifier sa page sur le Monkeypox … pour le rendre plus effrayant
https://www.nhs.uk/conditions/monkeypox/
Ils ont supprimé un $ de la section « Comment attrape-t-on la variole du singe ?
Auparavant, selon des liens archivés ( https://web.archive.org/web/20220507132152/https://www.nhs.uk/conditions/monkeypox/ ), la page Monkeypox disait ceci, concernant la transmission de personne à personne :
« Il est très rare de contracter le Monkeypox à partir d’une personne atteinte de l’infection, car celle-ci ne se transmet pas facilement d’une personne à l’autre«
… cela a maintenant été totalement supprimé.
Ensuite, ils ont supprimé le $, présent au moins en novembre 2021 ( https://web.archive.org/web/20211102221822/https://www.nhs.uk/conditions/monkeypox/) :
« [Le Monkeypox] est généralement une maladie bénigne qui s’améliore d’elle-même sans traitement. Certaines personnes peuvent développer des symptômes plus graves, c’est pourquoi les patients atteints du Monkeypox au RU sont pris en charge dans des hôpitaux spécialisés«
Le nouveau $ « traitement » se lit ainsi :
« Le traitement du Monkeypox vise à soulager les symptômes. La maladie est généralement bénigne et la plupart des personnes se rétablissent en 2 à 4 semaines … Vous devrez peut-être rester dans un hôpital spécialisé, afin que vos symptômes puissent être traités et pour éviter que l’infection ne se propage à d’autres personnes«
Ils suppriment donc l’idée que la maladie « s’améliorera d’elle-même« , et renforcent à nouveau l’idée de la propagation de la maladie, bien que celle-ci ait été décrite comme « très rare » pas plus tard que la semaine dernière
Ils ajoutent même une ligne sur l’auto-isolement, qui n’a jamais été mentionnée auparavant :
« Comme le Monkeypox peut se propager en cas de contact étroit, vous devrez être isolé si on vous diagnostique la maladie«
Enfin, ils ajoutent un avertissement concernant la possibilité de contracter le Monkeypox en mangeant de la viande insuffisamment cuite, ce qui alimentera sans aucun doute le discours anti-viande
Oh, attendez, c’est déjà le cas en Australie :
‼️ Monkeypox en Australie : Mieux traiter les animaux pour éviter les zoonoses
L’Australie a maintenant des cas confirmés de monkeypox, et il est grand temps de reconnaître que le mauvais traitement des animaux entraîne des zoonoses et risque de déclencher la prochaine pandémie mondiale
Les zoonoses comme le Monkeypox apparaissent souvent lorsque des animaux sont arrachés à leur habitat naturel, confinés dans des cages insalubres à proximité des humains sur les marchés ou dans les fermes, puis mangés
Le Monkeypox s’est propagée pour la 1ère fois depuis l’Afrique en 2003 à partir d’animaux sauvages détenus comme « animaux de compagnie » exotiques. La maladie peut être transmise de l’animal à l’homme par le toucher ou en mangeant des animaux infectés par le virus
Environ 3/4 des maladies infectieuses récemment apparues chez l’homme ont été transmises par d’autres espèces. SRAS, grippe porcine, COVID-19, Ebola, MERS, grippe aviaire – la liste des maladies transmises par d’autres espèces est longue
Nous devons cesser de manger des animaux et de les maintenir dans des conditions d’exiguïté anormales dans les fermes industrielles et sur les marchés d’animaux vivants
‼️ En résumé :
Avant, le Monkeypox « ne se propageait pas facilement entre les personnes ». Maintenant, c’est le cas
Avant, le Monkeypox « guérissait d’elle-même sans traitement ». Maintenant, ce n’est plus le cas
Il est encore trop tôt pour dire que le Monkeypox sera le « nouveau Covid », et peut-être que ce lancement va stagner et être oublié dans qq semaines, mais il ne fait aucun doute qu’ils prennent qq conseils du livre de jeu du Covid jusqu’à présent
Après les « mesures Covid », les « mesures Monkeypox » : QR Code et isolement
‼️ La DDC intensifie les mesures anti-monkeypox
Le Department of Disease Control (DDC) a introduit des règles strictes pour le dépistage des visiteurs en provenance de pays où la variole du singe a été découverte.
Les voyageurs devront remplir des fiches de déclaration de santé à présenter à l’arrivée. Les cartes auront également un code QR qui doit être scanné afin que les touristes entrants puissent recevoir des informations sur les symptômes et les signaler après leur arrivée. Ils peuvent alors être conseillés sur l’endroit où obtenir de l’aide médicale.
Le DDC avait mis en place un centre d’opérations d’urgence (EOC) pour surveiller la propagation du virus et a exigé que les responsables de l’immigration fassent attention aux visiteurs d’Afrique centrale et occidentale, du Royaume-Uni, d’Espagne et du Portugal, où le virus a été détecté.
Tout visiteur qui semble présenter des symptômes potentiels sera hospitalisé pour des tests.
Le Dr Chakkarat Pitayawonganon, directeur de la division d’épidémiologie du département, a déclaré lundi que l’EOC aidera à dépister les touristes entrants qui pourraient risquer d’avoir contracté le virus après avoir voyagé dans des pays où sévissent des épidémies.
Elle peut être transmise d’une personne à une autre par contact étroit avec des lésions, des fluides corporels, des gouttelettes respiratoires et des matériaux contaminés.
La Thaïlande a dû établir le EOC pour surveiller de près l’épidémie à l’étranger, même s’il n’y a pas eu de cas enregistrés dans le royaume jusqu’à présent.
L’EOC vise à garder un œil sur les cas à l’étranger et à mettre à jour les dernières données sur la manière de prévenir le virus, a-t-il déclaré.
Le Dr Chakkarat a déclaré que pendant la période d’incubation, les personnes infectées pourraient ne pas présenter de symptômes visibles tels que des éruptions cutanées et des taches surélevées qui se transforment en cloques puis en croûtes.
Ils pourraient passer le contrôle à l’immigration et entrer dans le pays. Cependant, les responsables examineront de près les passagers des pays qui ont des épidémies.
Il a également ajouté que les passagers doivent remplir des cartes de déclaration de santé avant d’arriver pour l’inspection. Les cartes poseront des questions sur les symptômes possibles.
Les premiers symptômes comprennent une température élevée, des maux de tête, des douleurs musculaires, des maux de dos, des ganglions enflés, des frissons et de l’épuisement. Le Département des sciences médicales est chargé de collecter des échantillons auprès des touristes susceptibles de présenter de tels symptômes.
Le Dr Chakkarat a expliqué que le virus de la variole du singe existe en Afrique depuis de nombreuses années, mais que les voyageurs ont récemment transporté le virus en Europe et que les infections se propageront probablement à partir de là.
Il a déclaré que la variole du singe provoque des symptômes similaires à ceux de la variole, bien qu’ils soient souvent moins graves.
https://www.bangkokpost.com/thailand/general/2314594/ddc-ramps-up-anti-monkeypox-measures
Nouvelle étude grandeur nature
‼️Une étude du Lancet rapporte la 1ère utilisation de 2 antiviraux chez des patients atteints du Monkeypox
Certains médicaments antiviraux pourraient améliorer l’état de santé des patients infectés par le virus du Monkeypox, selon The Jerusalem Post ( https://www.jpost.com/health-and-wellness/article-707798 ) une nouvelle étude rétrospective publiée par The Lancet ( https://www.thelancet.com/journals/laninf/article/PIIS1473-3099(22)00228-6/fulltext ) le 24 mai dans le contexte du pic actuel des cas de Monkeypox dans le monde
L’étude a examiné 7 cas de Monkeypox découverts au Royaume-Uni entre 2018 et 2021, qui représentaient les 1ers cas de transmission hospitalière et de transmission domestique en dehors de l’Afrique, où la maladie est endémique
L’étude a également noté la réponse des patients à l’utilisation des médicaments antiviraux tecovirimat et brincidofovir pour tenter de traiter le monkeypox
‼️Concernant le tecovirimat (ou TPOXX)
📌Fiche de l’EMA mise à jour en janvier 2022 :
Extrait :
« Pourquoi Tecovirimat SIGA est-il autorisé dans l’UE?
L’EMA a estimé que Tecovirimat SIGA est efficace pour réduire la mortalité due à la variole, au Monkeypox et à la variole bovine, sur la base d’études réalisées sur des animaux. Bien que la sécurité du médicament ait été évaluée chez des personnes non infectées, les effets indésirables de Tecovirimat SIGA devraient être similaires chez les personnes infectées et sont considérés comme acceptables. Par conséquent, l’EMA a estimé que les bénéfices de Tecovirimat SIGA sont supérieurs à ses risques et que son utilisation peut être autorisée au sein de l’UE
Une AMM «dans des circonstances exceptionnelles» a été délivrée pour Tecovirimat SIGA. En effet, il n’a pas été possible d’obtenir des informations complètes concernant Tecovirimat SIGA en raison de la rareté de ces maladies. Chaque année, l’EMA examinera toute nouvelle information disponible et, le cas échéant, procédera à une mise à jour »
https://www.ema.europa.eu/en/documents/overview/tecovirimat-siga-epar-medicine-overview_fr.pdf
https://www.ema.europa.eu/en/medicines/human/EPAR/tecovirimat-siga
📌 06/12/2021 : SIGA Technologies collabore avec l’Université d’Oxford au Royaume-Uni pour fournir TPOXX® (Tecovirimat) dans le cadre d’un protocole d’accès élargi pour traiter les personnes atteintes de la variole du singe en République centrafricaine. L’Université d’Oxford parraine le protocole et l’étude en République Centrafricaine. SIGA a annoncé le 16/11/2021 que le Comité des médicaments de l’EMA a publié son avis sommaire à l’appui de l’approbation de la demande d’AMM de SIGA de Tecovirimat
‼️ RAPPEL concernant SIGA Technologies :
https://t.me/FrenchWhistleblowers/5884
https://t.me/FrenchWhistleblowers/5895
‼️Concernant le brincidofovir :
📌Fiche de l’ANSM mise à jour le 09/02/2021 : PAS d’AMM
https://archiveansm.integra.fr/Activites/Autorisations-temporaires-d-utilisation-ATU/ATU-arretees/Liste-des-ATU-arretees/BRINCIDOFOVIR-100-mg-comprime-nbsp
📌2 fiches sur le site du VIDAL, à la date du 15/04/2022 : NON COMMERCIALISE A CE JOUR
https://www.vidal.fr/medicaments/cmx-001-100-mg-cp-atun-153271.html
https://www.vidal.fr/medicaments/cmx-001-10-mg-ml-susp-buv-atun-158546.html
📌Et le 18/05/2022 :
Chimerix signe un accord d’achat d’actifs pour le Brincidofovir ; l’entreprise recevra 225 millions de dollars à la clôture de la transaction
Dernier DGS-Urgent publié le 03/06/2022 intitulé :
« MONKEYPOX : STRATEGIE DE VACCINATION POUR LES PERSONNES CONTACT A RISQUE ET PRECISIONS SUR LA CONDUITE A TENIR POUR LES CAS ET LES CONTACTS »
https://solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/_corruss_dgs-urgent_n2022_58_monkeypox_vaccination.pdf
Nous n’allons pas rentrer dans le détail des « recommandations », par contre, nous y avons noté un élément important concernant le vaccin IMVANEX
‼️Le DGS-Urgent renvoie vers une note de l’ANSM :
« Note d’information et protocole d’utilisation pour les professionnels de santé concernant la vaccination contre le Monkeypox virus (26 mai 2022)
Vaccins IMVANEX ® et JYNNEOS »
‼️Et à la page 7 de cette note est mentionné un élément à porter à la connaissance de tous, car cela montre bien que les effets secondaires potentiels ne sont pas connus …. Notamment concernant l’interaction avec les vaccins contre le Covid :
« 8. Interactions médicamenteuses
Aucune étude d’interaction avec d’autres vaccins ou médicaments n’a été réalisée. Par conséquent, l’administration concomitante d’Imvanex/Jynneos et d’autres vaccins doit être évitée. L’administration concomitante d’Imvanex/Jynneos et d’immunoglobulines, y compris le VIG (Vaccinia Immune Globulin, Laboratoire Emergent BioSolutions), n’a pas été étudiée et doit être évitée »
…. L’étude grandeur nature dans toute sa splendeur ….
‼️‼️Une fois de plus , à garder en mémoire et à faire circuler pour le bien de tous : Article 223-1 du Code Pénal
« Le fait d’exposer directement autrui à un risque immédiat de mort ou de blessures de nature à entraîner une mutilation ou une infirmité permanente par la violation manifestement délibérée d’une obligation particulière de prudence ou de sécurité imposée par la loi ou le règlement est puni d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende. »
Communément appelé la « mise en danger de la vie d’autrui «
https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000024042637/
L’OMS va reconvoquer un comité d’urgence sur le monkeypox en raison de « l’évolution de la situation », a déclaré mercredi 29 juin le Directeur général, le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, alors que l’organisation avait déclaré samedi 25 juin que le virus ne constituait pas une urgence de santé publique internationale « pour le moment ».
Le comité « m’a conseillé de le réunir à nouveau rapidement en fonction de l’évolution de la situation, ce que je vais faire », a déclaré Adhanom Ghebreyesus lors d’une conférence de presse, ajoutant que le virus est potentiellement prêt à « se déplacer vers les groupes à haut risque, notamment les enfants, les personnes immunodéprimées et les femmes enceintes ».
« Nous commençons à le constater avec plusieurs enfants déjà infectés », a-t-il ajouté.
Adhanom Ghebreyesus et le comité ont reconnu samedi que la situation devait être « étroitement surveillée » et que la décision de ne pas déclarer l’urgence devait être « réexaminée après quelques semaines », en soulignant la « nature urgente » de l’épidémie mondiale et les « efforts de réponse intenses » nécessaires pour la contrôler.
A SUIVRE …
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