Lévothyrox : la colère des cobayes français « malgré eux »

Depuis mars 2017, nous, cobayes à notre insu et victimes du scandale sanitaire sans précédent de la nouvelle formule du Lévothyrox, subissons dans le déni des autorités françaises et de Merck, un véritable enfer qui a fait basculer nos vies. Lettre ouverte aux médecins de notre gouvernement. 

LETTRE OUVERTE à :

Madame la Ministre des Solidarités et de la Santé, Docteur Agnès Buzyn,
Monsieur le Directeur Général de la Santé, Docteur Jérôme Salomon,
Monsieur le Directeur de l’ANSM, Docteur Dominique Martin,

Quand allez-vous reconnaître les malades de la thyroïde victimes de la nouvelle formule du Levothyrox, une crise sanitaire sans précédent qui a fait basculer la vie de milliers de français depuis mars 2017 ? Est-il normal lorsque l’on est médecin de ne pas prendre en considération les effets secondaires de milliers de patients, de ne pas les interroger pour connaître les raisons de l’abandon d’un médicament dit « bien meilleur » que le précédent par son laboratoire de production ?

Pourquoi un tel déni de souffrance des malades sous prétexte que vous ayez mis à disposition d’autres médicaments de la thyroïde ? Mettre sur le marché d’autres médicaments de substitution à cette nouvelle formule du Levothyrox n’enlève en rien les effets secondaires qui perdurent chez de nombreux malades depuis maintenant deux ans. Concernant ces médicaments de substitution, vous savez que l’Euthyrox est distribué de façon ponctuelle, certaines villes sont déjà en rupture de stock alors qu’il était annoncé officiellement par vous-même et par Merck dans la presse, une mise à disposition de 50 000 boîtes jusqu’à la fin de l’année, annonce non respectée par Merck.
L-Thyroxin Henning de Sanofi est souvent très mal supporté par les malades. Reste L-Thyroxine de Serb, en gouttes, nécessitant d’être conservé au réfrigérateur, le TCAPS de Genevrier non remboursé (14 euros) et le Thyrofix générique du Lévothyrox du laboratoire
Uni-Pharma. Sur ces quatre médicaments de substitution, il n’y aucun princeps en comprimés reconnu comme l’était le Lévothyrox, et de surcroit remboursé puisque le TCAPS est toujours à la charge du patient sachant que certains malades ne le supportent pas.

Pourquoi niez-vous toutes nos souffrances alors que vos confrères les prennent en considération depuis 2017 ? Outre nos interrogations, pourquoi ne répondez-vous pas à celles des médecins et endocrinologues qui nous soutiennent depuis deux ans ? Est-ce un tort pour un praticien de faire son travail convenablement et de prendre en charge les pathologies de ses patients ? Comment pouvez-vous nier les diagnostics alarmants de vos confrères parfois victimes eux-mêmes de cette nouvelle formule comme l’a été le docteur Catherine Noël ? Y a t-il deux serments d’Hippocrate dont celui d’une médecine politicienne et lobbyiste loin des souffrances de l’humain ? Vous n’êtes pas sans ignorer que de nombreux malades s’approvisionnent dans les pays européens frontaliers qui ont protégé leurs patients contrairement à la France, certains malades français vont jusqu’à se rendre au Maghreb afin d’acheter l’ancienne formule dont nous sommes privés ! Pourquoi nous imposer alors depuis mars 2017 une nouvelle formule « de bien meilleure » qualité si l’ancienne est encore distribuée au Maghreb ? Même la Thaïlande et l’Iran ne connaissent pas cette nouvelle formule pour le moment, ils ont l’Euthyrox allemand. Si la Suisse et la Turquie la connaissent depuis l’été 2018, nous savons tous qu’il y a eu des victimes suisses puisqu’elles se sont manifestées dans les groupes de parole. Pourquoi l’Italie a toujours l’ancienne formule fabriquée en France ?
Où sont fabriqués cette nouvelle formule et ses excipients ? Merck a fait construire en 2014 une grande usine en Chine. Vous ne pouvez pas ignorer le scandale sanitaire de la fabrication du Toujéo, ni celui du lait frelaté pour enfants même s’il n’a jamais été importé en France.

Si cette formule est si « miraculeuse » d’après Mme Valérie Leto Directrice Qualité et Affaires Pharmaceutiques de chez Merck Serono, pourquoi la France est le seul pays à l’avoir subi depuis deux ans ? Ne nous dites pas que la réponse est celle de moyens de production insuffisants quand on a pu constater que les laboratoires concurrents ont augmenté leurs productions très rapidement en 2017 pour faire face à cette crise française du nouveau Levothyrox.

Pourquoi depuis plus de deux ans, les malades asiatiques de la thyroïde ne bénéficient-ils pas de cette super formule sans lactose alors qu’il y a plus de 90 % d’intolérants au lactose en Asie ? Etonant que cette nouvelle formule ait toutes les qualités pour être distribuée à l’Asie mais que les asiatiques n’y aient pas encore gouté quand on se souvient des témoignages des pharmaciens de 2013 nous informant que la rupture de stock de l’ancien Lévothyrox était due à une forte demande asiatique.
Etonant également que l’ANSM ait été soucieuse d’un supposé problème de stabilité de l’ancienne formule alors qu’à présent vous êtes indifférent à une formule qui crée des effets secondaires sur des milliers de malades sachant que vous soutenez les raisons de ce changement.
Il est évident que Merck souhaitait mondialiser cette formule dont le brevet expirait en janvier 2019, d’où la construction de cette gigantesque usine en Chine opérationnelle avant la mise sur le marché français de cette nouvelle formule. Même les salariés de Merck ont conscience qu’il s’agit d’une catastrophe sanitaire de grande ampleur mais que les moyens financiers investis ne feront pas reculer leur direction à l’assaut d’une conquête mondiale de ce médicament de la thyroïde.
Nous voulons savoir quels sont les excipients fabriqués sur ce lieu de production quand on sait qu’il n’y a jamais le mot made in china sur les boites alors qu’il était prévu de produire la nouvelle formule ou ses excipients dans cette usine.

2012, date à laquelle le laboratoire Genevrier a élaboré le Tirosint caps, un des médicaments de substitution qui a reçu seulement son AMM français en février 2018 : le TCAPS. Contrairement aux autres pays qui connaissaient ce médicament depuis 2012, Merck avait le total monopole en France avec le Lévothyrox – Lévothyroxine de Biogaran avait été retiré du marché en 2016 justement pour des problèmes de stabilité de lévothyroxine. L’ANSM a donné le total feu vert ainsi que le remboursement au nouveau Lévothyrox alors que le TCAPS bien toléré, se trouvant depuis 6 ans dans 10 pays européens et USA ne l’est toujours pas. Pourquoi ?
2012, date à laquelle également le professeur Lechat ancien salarié de Merck, a donné au sein de l’ANSM en tant qu’agent de sécurité du médicament son accord pour la nouvelle formule du Lévothyrox avec pour motifs, un supposé problème de stabilité d’un médicament au franc succès depuis 30 ans et des problèmes d’intolérance au lactose avec seulement 10 à 15 % des français concernés contrairement aux 90 % d’asiatiques. Cette année là est aussi celle de l’arrivée de Marisol Touraine ne pouvant ne pas être informée lorsque l’on sait que son frère est endocrinologue et qu’il l’a félicité publiquement sur Twitter pour ses actions au sein du gouvernement Hollande.

A ce jour, nous n’avons aucun retour de nos déclarations gouvernementales par courrier. Les malades les plus fortement touchés par ces effets indésirables n’ont jamais été contactés par leur centre de pharmacovigilance. Pourquoi nos déclarations gouvernementales ne sont pas considérées à la hauteur de leurs gravités alors que beaucoup de malades sont souvent livrés à eux-mêmes quand leur médecins refusent catégoriquement de leur donner un traitement de substitution ? Combien de personnes âgées souffrent d’effets secondaires dans le plus grand omerta, ignorées de leurs médecins qui leur affirment depuis mars 2017 qu’elles se font des idées ? N’y a t-il pas de principe de précaution pour les femmes enceintes en raison de ce que nous vivons depuis 2017 ? Vous savez que non seulement il y a eu un défaut d’information sur ce changement de formule, mais que de surcroît l’ancienne formule et la nouvelle ne sont pas comparables. Pourquoi ne prenez vous pas en considération la dernière étude de Didier Condorcet et Pierre-Louis Toutain ? Remettez-vous en question les travaux de la revue « Clinical Pharmacokinetics » pour être à ce point indifférent à son étude sur le Lévothyrox ? Comment est-il possible que pour vous, depuis le début de cette crise sanitaire sans précédent, aucun scientifique ne soit à la hauteur de ceux de Merck ? Pourquoi Jean-Christophe Garrigues a été muselé juste avant sa conférence de presse où il voulait annoncer qu’il avait trouvé des impuretés en quantités variables dans ce nouveau Levothyrox ?

Décidément, nous constatons qu’aucun scientifique n’arrive à la cheville de ceux qui ont validé cette formule. Les scientifiques de Merck ont des capacités intellectuelles exceptionnelles au point que vous niez et affirmiez que plus de 500 000 malades voire le double, fabulent. Sur quelles preuves ces malades fabuleraient lorsque l’on nie les travaux scientifiques de Jean Christophe Garrigues, de la revue « Clinical Pharmacokinetics » et, des experts de l’AFMT qui ont trouvé des traces de dextrothyroxine ? Il est quand même incroyable qu’en France l’on n’entende pas ceux qui ont des avis contraire au résultat d’un mode de production qui rend malade des milliers de patients déjà fragilisés par des dysfonctionnements de leur thyroïde et qu’ils aient tous des compétences inférieures parce qu’ils ne font pas partis de l’entreprise qui produit ! Quelle est cette France où les experts ont peur de faire des analyses pour dénoncer ce qui rend malade des patients au bénéfice des entreprises pharmaceutiques ? Est-il normal d’écrire « la guerre est menée par des gens extrêmement puissants, aux moyens illimités » (Dr Irène Franchon) si la France agit dans l’intérêt de ses citoyens ? Pourquoi le Docteur Nicolas Bouvier a du envoyer ses patients en Suisse afin qu’ils soient pris en charge dans une clinique spécialisée mettant à jour le même point commun, des taux de métaux lourds anormaux dans les corps ? Comment faire confiance à présent à un laboratoire français indépendant lorsque l’on a connaissance des méthodes d’intimidation de l’industrie pharmaceutique (Livre d’Irène Franchon) ? Pourquoi ne pas rassembler toutes les plaquettes de Lévothyrox des personnes impactées surtout que nous avons expérimenté cette formule dont la toxicité des lots peut être variable ? Nous avons conscience qu’il y a deux problèmes : une nouvelle formule non expérimentée convenablement et des taux d’impuretés « toxiques ». Il suffit de nous entendre, sans être médecin, pour constater sur des milliers d’entre nous que les symptômes sont toujours majoritairement les mêmes : affaiblissement des organismes avec développement de diverses pathologies et système nerveux affecté. Si Merck est au dessus de tout de soupçon, que cette entreprise invite alors des experts indépendants sur ses lieux de productions parce que dans le cas présent, il n’y a plus de secret des affaires lorsque les malades sont victimes de la prise de leur médicament, c’est un secret d’empoisonnement qui coûte une fortune à notre sécurité sociale. Le coût de tous les examens que les malades n’auraient jamais du faire si la composition et le mode de production de ce Levothyrox n’avaient pas changé et avaient été respectés dans l’intérêt des malades, ne peut être ignoré par notre Sécurité Sociale. On ne peut même plus parler d’effets secondaires mais bien d’empoisonnement en fonction des lots et de la résistance des patients, déclenchant souvent les mêmes symptômes chez des sujets qui s’affaiblissent de jour en jour. Merck ne peut ignorer les situations dramatiques des malades puisque lors du procès de Toulouse, ses défenseurs ont prouvé qu’ils avaient connaissance des témoignages des malades de la toile. La mise sur le marché du Lévothyrox et son maintien malgré toutes nos alertes et pathologies déclenchées, prouvent que toutes les portes sont ouvertes à une industrie pharmaceutique puissante au détriment de la santé des français et des plus petites entreprises pharmaceutiques puisque le TCAPS n’est toujours pas remboursé malgré son succès dans le reste du monde.

En aucun cas, vous ne pouvez ignorer les victimes de cette nouvelle formule alors que vous avez depuis 2017 des milliers de vrais cobayes bien malgré eux, qui subissent depuis des mois. Comment pouvez-vous être aussi indifférent à ce drame humain que prennent encore une fois en considération vos confrères et pourquoi ces souffrances seraient-elles moins importantes que celles du Mediator ou du Toujeo lorsque l’on sait que des patients en bonne condition physique comme la mère d’Annie Lemoine ont perdu la vie, que des personnes âgées sont recluses ou se meurent dans le plus grand désarroi des familles ? Combien de malades sont décédées suite à des résistances physiques affaiblies ou parce que n’en pouvant plus, ils ont décidé d’arrêter leur traitement ? Personne ne peut ignorer ce drame humain lorsqu’on lit les témoignages sur la toile surtout lorsque l’on sait qu’il est considéré par une partie du corps médical digne du serment d’Hippocrate. Si des médecins s’indignent de ce qu’ils appellent « la pieuvre industrielle » (La nouvelle République.fr 10/04.19) pour préserver les étudiants en faculté de médecine de l’industrie pharmaceutique, c’est bien qu’une grande proximité des laboratoires est néfaste à tout diagnostic d’effets indésirables y compris dans cette affaire du Lévothyrox lorsque l’on a connaissance de vos parcours professionnels. Contrairement à ce qu’affirme Mme Valérie Leto, cette formule est meilleure uniquement dans l’intérêt financier de Merck mais certainement pas pour les malades lorsqu’ils sont plus de 500 000 à l’avoir abandonné, sans compter les personnes âgées, les patients soumis au dictat de leur médecin et ceux qui n’osent s’exprimer de peur d’être moqués. Ne trouvez-vous pas en tant que médecins et garants de la sécurité du médicament, anormal que lorsque des patients se « traînent » jusqu’au commissariat le plus proche pour déposer plainte, c’est qu’il y a un sérieux problème de médicament et qu’il faut le prendre en considération à la hauteur de ses effets secondaires ? Est-il normal de ne pas s’interroger sur un médicament et continuer à l’imposer en tant que médecins lorsqu’il y a une dizaine de procès en cours ?
Si certaines personnes ne sont pas tombées malades ou n’ont pas fait de signalement à l’amiante ou au Médiator, les procès des victimes sont-ils injustifiés quand on sait que le premier rapport de dangerosité de l’amiante date de 1898 en Angleterre et que la molécule du Médiator a été retiré du marché aux Etats-Unis dès 1997 ? C’est seulement le 30 novembre 2009 que le Médiator a été retiré de la vente en France soit douze ans après sa première interdiction ! L’Espagne et l’Italie ont réagit en 2003 et 2004.

Comment pouvez-vous imaginer une seule seconde que des milliers de malades puissent mettre en procès un laboratoire pour des faits sans importance ? Êtes-vous médecins dans l’intérêt de la santé du laboratoire Merck ou dans l’intérêt des malades de la thyroïde ? Et s’il vous plait, ne vous mettez pas en colère comme vous pouvez le faire dans les médias, ne renversez pas les rôles, c’est à nous victimes d’être en colère de votre déni et abandon au profit du laboratoire Merck au dessus de tous soupçons, surtout que vous soutenez vos prédécesseurs.

Si certains patients ont eu la chance de ne pas avoir d’effets secondaires et de passer à travers « les mailles du filet » (la qualité des lots est irrégulière et nos résistances immunitaires différentes), si d’autres ont trouvé un traitement de substitution ou vont s’approvisionner à l’étranger, des milliers de malades de la thyroïde en France subissent encore les conséquences d’effets secondaires dans votre plus grand déni et celui des médecins qui imposent ce Lévothyrox. Non Madame Buzyn, nos souffrances ne sont pas une fake news, elles sont bien réelles.
Entendre ou lire en 2019 de telles souffrances exprimées par vos confrères et malades de la thyroïde à la suite de la prise de cette nouvelle formule, en France, est inacceptable ! Les centres de pharmacovigilance ne donnant pas suite aux déclarations des malades, nous demandons la mise en place d’urgence d’une cellule de crise indépendante avec un numéro vert à la hauteur de nos drames humains financé par Merck et non pas par le contribuable français, afin de répertorier nationalement les dégâts causés par un médicament qui n’aurait jamais du être mis sur le marché lorsque l’on a connaissance et conscience de ce que sont les maladies de la thyroïde. Cette nouvelle formule aurait dû être retirée du marché dès le constat des nombreux effets secondaires sous l’évident principe de précaution. Or qu’avez-vous dit ? Circulez, il n’y a aucun problème, si vous n’êtes pas content, vous en avez d’autres à disposition et l’on rejette vos effets secondaires infondés ! Est-ce qu’il est normal en tant que médecin et garant de la sécurité du médicament de réagir de cette façon ? Ce n’est plus possible. Vous prenez des décisions de médecine alors que vous n’avez plus de contact avec les patients depuis de très nombreuses années coupé de toutes réalités sauf de celles des chiffres, bien loin de l’humain et de vos serments d’Hippocrate. Nous vous rappelons qu’il n’est nul besoin d’un diplôme de médecine lorsque l’on côtoie une victime du nouveau Lévothyrox pour faire un diagnostic de la dégradation de son état physique alors que tout allait bien, avant. Stop aux minimisations et humiliations indignes du corps médical, nous demandons également le remboursement du TCAPS ainsi qu’une commission de transparence indépendante de l’ANSM envers qui nous n’avons aucunement confiance, afin de savoir où et comment sont faits les excipients de cette nouvelle formule mais aussi de la formule similaire l’Euthyrox allemand dont certains malades commencent à souffrir depuis quelques mois. Forcément, la levothyroxine (ou autre) de la nouvelle formule est la même que celle de l’Euthyrox puisqu’il s’agit de la même entreprise, Merck. Les milliers de cobayes que nous avons été ou sommes à notre insu ne veulent plus subir dans votre déni.

Cette nouvelle formule élaborée pour satisfaire le marché asiatique sans perdre d’intérêts financiers en raison de l’expiration de son brevet en janvier dernier est une véritable tragédie pour de trop nombreux malades de la thyroïde français qui veulent être enfin entendus mais surtout reconnus par Vous puisque vous êtes des médecins ! Les autorités d’un État se doivent de protéger leurs citoyens de surcroît lorsqu’elles sont dirigées par des médecins. La mise sur le marché de ce médicament est la négation de nos souffrances au profit des bénéfices de Merck et vous le savez. Aucun malade ne devrait porter plainte lorsque les autorités d’un pays sont bienveillantes surtout après le scandale du Toujeo et du Mediator.
Ne pas reconnaître ce scandale sanitaire sans précédent est une non assistance à personne en danger.

Les victimes cobayes françaises du nouveau Lévothyrox.

Par Chrislaurent Le Blog Mediapart – 5 mai 2019  
https://blogs.mediapart.fr/…/levothyrox-la-colere-des-cobay…

Lire aussi : 

https://www.midilibre.fr/…/mende-nombreuses-victimes-du-lev…

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https://petitions.santenatureinnovation.com/levothyrox-ren…/

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